Finalement, ils ne sont pas très nombreux dans le quartier, vous direz-vous. Et vous n’aurez pas tort. Sauf que tous les habitants ne participent pas , mais les essentiels sont présents avec les indispensables pour cette rencontre d’été dans la rue. Une réunion qui se perpétue désormais au fil des années. Alors, pour cette soirée, chacun apporte sa bonne humeur et sa disponibilité. Ceux-ci mettaient en place les tables, Michel faisait cuire les saucisses, cet autre préparait les boissons, et les plus jeunes s’amusaient, tout ce qui construit la vie d’un quartier. Les coorganisateurs Delphine et Pierre, usaient de bienveillance pour orienter le tout. Ils procèdent, le temps d’une soirée à une pause tout à fait réconfortante avec Alice et Tom, les plus jeunes. Ils ont accompagné leur grand-père. Ils ne restent pas les derniers pour ajouter à l’ambiance. Cet événement renforce les liens sociaux et de lutte contre l'isolement dans le quartier. À se rassembler pour un moment de parta...
Finalistes du A Chaudes-Aigues ne montrait pas beaucoup d’optimisme quant au défi estival à venir avec les températures annoncées. Finalement, le nombre de 72 doublettes s’est avéré satisfaisant pour la compétition principale du Club. Rappelons que le tournoi était réservé aux seuls joueurs licenciés. Un sondage sur la liste des inscrits démontrait la participation de 16 clubs sur 6 départements différents. Nous ne listerons pas ici les inscrits. Canicule ou pas, le tournoi se déroulait dans un esprit sportif avec quelques tours complémentaires à la buvette. Le président Bonnal dresse un bilan très positif en ce qui concerne la présence de certains clubs, comme Auzon ou Mende, qui ont arraché une victoire méritée. Nous noterons cependant la belle performance de la doublette Caldaguès Mouliade – Pruniéres qui arrivait en demi-finale du concours C. Le club local tient à remercier, chaleureusement, les participants qui ont effectué le déplacement en terre des eaux chaudes, ai...
Terminées les toilettes fabriquées par les équipes techniques des municipalités, genre la cabane au fond du jardin . Normes, sécurité hygiène doivent respecter des cahiers des charges compliqués. Aussi la commune caldagués a fait le choix de démolir l’espace existant et de l’adapter à recevoir une cellule préfabriquée normative pour un usage tous publics. Belles toilettes avec un niveau d’équipement tant sécuritaire qu’hygiénique qui comporte une chasse d’eau automatique avec lavage et séchage de l’assise, nettoyage du sol par buses, lave-main avec son savon, eau et sèche-mains automatique, etc. N’oublions pas le confort avec ventilation naturelle et mécanique, chauffage par air pulsé, barre d’appui pour plus d’accessibilité, éclairage automatique, sol antidérapant. Et aussi une sécurité renforcée qui permet une décondamnation d’urgence avec alarme après 12 minutes, bouton d’appel en cas de chute. Finis donc les clichés et situations délicates, le tout, dans le respect des norm...
Ce matin-là le soleil se déplace depuis l’imposte zénithale jusqu’aux vitraux de la chapelle des pénitents. Sa trajectoire éclaire les objets de Ruth Gurvich en cours d’implantation sur l’étal. Elle aimerait garder cet éclairage naturel. Malheureusement l’accès au lieu ne s’effectuera que les après-midi. Ruth Gurvich est une artiste contemporaine franco-argentine née à Cordoba en Argentine. Son œuvre reste un dialogue fascinant entre l’esthétique et les arts décoratifs explorant principalement le papier et la porcelaine. Il y a deux ans les responsables du CLAC lui ont proposé d’intégrer l’endroit. À cette occasion elle a fait un tour par le Caldaguès qu’elle ne connaissait pas. « Immédiatement, j’ai voulu entrer dans le ton du retable. Je souhaitais créer un sas pour montrer qu’on entre un peu comme dans une église, d’où le titre de l’exposition, « Cérémonial ». Elle poursuit : « J’avais toujours en tête la relation avec cette profusion baroque du retable lorsque je préparais...