LES BONHEURS DE PAULOCHON

C’est sous l’autorité de Valérie Auguy présidente que vient de se tenir l’assemblée générale des donneurs de sang. Assistée de Mme Vernhet Virginie en tant que secrétaire-trésorière de l’association. M. Albert VINAS président départemental participait à cette rencontre. Le rapport moral démontre que le nombre de prélèvements évolue peu sur le canton de Chaudes-Aigues, mais reste cependant dans la stabilité bon an mal an. Valérie Auguy ne manquait pas de rendre grâce à tous les membres du bureau, les bénévoles pour leur appui et soutien à chaque collecte. Savait gré à Monsieur Vinas de sa présence et son concours tout au long de l’année. Formulait ses remerciements à la commune de Chaudes-Aigues, pour l’aide à l’installation et au prêt de la salle Beauredon à chaque séance. L’Association vit principalement avec les subsides des mairies «  dont nous leur sommes reconnaissant ». Et de poursuivre : «  Nous avons essayé de maintenir l’esprit de convivialité en particulier pendant la col

  C’est au Cinéma La Source de Chaudes-Aigues que se tenait l’assemblée générale du Grand-Parcours. S’y retrouvaient les acteurs de la première heure avec 27 années de plus au compteur. S’agrégeaient quelques nouveaux, prêts à reprendre le flambeau de ceux et celles et qui bâtissent le Grand-Parcours : bénévoles, collectivités, partenaires, propriétaires terriens, bref tous ceux qui vivent pour cette randonnée annuelle… «  Sans vous rien de possible et rien ne deviendra envisageable demain. » Ajoutait le pâtre Marc Guibert. «  Après deux années délicates, contraintes sanitaires, incertitudes et difficultés diverses, nous avons réussi quand même à offrir trois rendez-vous l’été dernier ». Des rencontres atypiques autour des Arts de la rue et du chemin dans la cité thermale, concerts classiques à Saint-Urcize, Chaudes-Aigues et Aubrac et le 4 sept une édition restreinte de la manifestation avec ses fidèles aficionados. Juin 2022 renouera avec un «  Grand-Parcours, grandeur nature ».

Aujourd’hui encore, les dinosaures restent l’une des grandes énigmes de notre planète, et c’est à leur histoire longue de plus de 150 millions d’années que s’attache cette exposition. Tous ou presque se sont éteints quand un astéroïde géant a frappé la Terre, un événement qui résonne de nos jours alors que nous sommes nous-mêmes confrontés à une « sixième extinction ». De considérables mystères les entourent, mais les paléontologues continuent à effectuer des découvertes passionnantes les concernant, et ce que nous savons déjà est fascinant. Tous les sauropsidés naissent dans des œufs, et certains semblent bien minuscules à côté de leur mère. Ce n’est que depuis 150 ans qu’on les connaît vraiment grâce au travail des spécialistes qui étudient leurs fossiles. À ce jour, 700 espèces demeurent répertoriées, il en subsiste sûrement beaucoup à identifier. On sait que les dinosaures restent des animaux très variés : bipèdes ou quadrupèdes, carnivores et herbivores, à cornes, à plaqu

  « Je me souviens » affirmait Georges Perec. Sur ce thème et celui du futur du Prix Arverne, en constante ascension, se déroulait avec prestance, le 15 e  anniversaire de cette distinction littéraire créé en 2007. Elle récompense un auteur ou un ouvrage en lien avec l’Auvergne et le Massif central. Ce fut l’occasion de joyeuses retrouvailles après des temps incertains, stimulées par le titre du roman primé : « Le porteur de joie » de Maurice Chalayer, paru aux éditions De Borée. Rappelons que l’écrivain est un habitué du Caldagués, il confie à Caleden ses douleurs une fois l’an. Possède également quelques points de rencontres littéraires et amicales, notamment rue Saint-Jacques. Les « Grandes Marches », brasserie spacieuse et raffinée, en lien historique avec la communauté auvergnate accueillait une belle assemblée de compatriotes venue fêter, à la fois le lauréat, Maurice Chalayer et les quinze ans du Prix Arverne. Recus par de gracieuses pastourelles costumées et la musique de « C

La campagne de vaccination se poursuit dans le Cantal avec l’unité mobile qui intervient auprès des populations les plus isolées géographiquement. Dans ce cadre, comme pour les deux précédentes sessions, l’objectif restait de faciliter l’accès aux injections pour les personnes les plus fragiles voire les plus vulnérables. Le Caldagués hébergeait le point éphémère ce lundi 6 décembre. Le troisième tour vaccinal se tenait salle Beauredon, placé sous l’autorité du médecin-chef des sapeurs-pompiers, le docteur Arnaud Loyer. L’organisation relevait du SDIS du Cantal en collaboration avec l’ordre des médecins et le conseil départemental. La commune de Chaudes-Aigues et son centre de secours local mettaient à disposition différents effectifs d’accueil et administratifs. «  Nous s ommes ici pour des rappels, cent vingt-trois, exactement à destination des personnes déjà inoculées , quel ques primo-vaccinés, voire deuxième rappel. 90 % des gens sont là pour l’ in jection de la troisième dose

Les bleues recevaient à l’enclos, devant un public acquis à leur cause, le club de Brioude. Le groupe au complet entamait bien la partie et saisissait quelques points d’avance ce qui augurait d’un match dans le bon sens. Mais au quart d’heure de jeu, les altiligériennes prenaient le dessus et s’en allaient vers une victoire indubitable. Une rencontre à l’arbitrage équilibré dans un excellent esprit des deux côtés. Les locales ne tenaient pas longtemps face aux Brivadoises, qui ne possédaient pourtant pas une équipe transcendante aux gabarits exceptionnels. En revanche leur gardienne toute en hauteur, le regard acéré, vive, savait se servir des pieds et mains qui « collaient à la balle ». Chacun s’accordait ce pendant à estimer les visiteuses à portée des thermales. Les Caldagués, dont on appréciait le jeu et les progrès patents obtenus par les séances d’ un entraînement appliqué, ne parvenaient plus à s’imposer dans cette rencontre à la possible victoire. Elles montraient be