LES BONHEURS DE PAULOCHON

« Se tendre la main », une association pour Madagascar. Loin des grandes ONG dont les médias abreuvent l’actualité humanitaire, il existe de petites structures qui à contrario ne souhaitent pas la reconnaissance, mais simplement garder le statut d’association loi 1901. C’est le cas de « se tendre la main » dont les premiers affiliés cantaliens sont installés en terre des eaux chaudes. Vincent Rey et son épouse Martine militent depuis l’origine dans cette amicale qui a vu le jour à Aix en Provence. Déclarée le 30 juin 2000, et enregistrée au Journal officiel le 29 juillet 2000 (Association Loi 1901), elle a pour but de créer, favoriser et entretenir des échanges et des liens entre ses membres et la population malgache. Elle compte aujourd’hui une centaine d’adeptes et cherche à mobiliser ses adhérents, pour générer, encourager et perpétuer relations et interactions avec les autochtones du village d’Ambohimandroso sur les hauts plateaux de Madagascar. Avec pour finalité : aid

Le jour où Lucien Albuisson a tout perdu dans la maison Juéry La communauté de communes Caldaguès Aubrac vient d’acquérir la propriété Juéry. Cet espace est resté tel que l’incendie détruisit les bâtiments le 8 avril 1956. Ce dimanche matin, il est environ six heures, Lucien Albuisson est déjà levé. Il a promis au cantonnier Dandurand, là-haut sur la route de Maurines de lui aider à couper du bois. Son fils dort, sa femme aussi. Il évite tout bruit. Prend le seau et descend l’escalier sans fermer la porte comme il le fait souvent... Jette un œil au ciel en sortant. La fontaine d'eau chaude est à 50 mètres au dessus du Remontalou. Il remplit son récipient. Presse le pas dans la froidure de l'aube. Il a encore gelé cette nuit-là, à pierre fendre. Revient vers l'immeuble. Le moulin est désaffecté, la boulangerie a cessé son activité, seul le magasin des Boucharin « la succursale Casino » est en service dans la partie restée intacte. Lorsqu’il entre dans le couloir, la

Quand le tourisme passe par le numérique.   La présentation du bilan d’activité de l’office de tourisme vient de démontrer que désormais la spécialité s’accomplit obligatoirement par le numérique, quel qu’il soit : réseaux sociaux ou instruments comme les bornes tactiles ou le site internet. Outre Bénédicte Molia, directrice de la structure s' y affairent : Monique Boussuge, Florent Billon Adeline Fonde et Sylvie Jaujou. Depuis le 22 janvier 2014, l’office a obtenu la « marque qualité tourisme ». Un label aux 140 critères précis et définis (organisation, caractère du service, formation du personnel...) dans l’optique de satisfaire le visiteur. Une appellation réactualisée tous les 3 ans. À cette « marque qualité » s’annexe le classement en catégorie 1, depuis le 15 mai 2014. Les statistiques établissent que 18.650 personnes sont passées par les locaux pour générer 5.969 actes d’accueil. Au top 5 des nationalités : en 2013 les Belges arrivaient en tête devant les Espa

l'Ehpad fête le nouvel an … chinois Que l’on se rassure l’Ehpad Sainte-Élisabeth n’a pas perdu son calendrier, victime d’un début d’Alzheimer. Depuis quelques années la maison célèbre le Nouvel An chinois. Ces réjouissances sont un moment dont les Chinois profitent en prenant des vacances et en se réunissant en famille. Les festivités s’étendent sur quinze jours, entre la nouvelle lune et la pleine lune. Il est aussi appelé en Chine le Festival du printemps, manifestation essentielle pour les communautés asiatiques à travers le monde entier. Pour l’occasion les résidents avaient adopté le chapeau ad hoc, le personnel, lui, revêtu les atours idoines. Le menu de ce jour composé en adéquation avec le décorum : samoussa, émincé de dinde au miel, riz cantonais, gâteau coco et salade de fruits exotique, rien que de lire donne faim. Que les familles se rassurent les pensionnaires n’ont pas passer une quinzaine de jours à fêter ce Nouvel An. C’est simplement