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Affichage des articles du mars 6, 2022

Des idées plein la terre*

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En coordination avec le service départemental du développement culturel, la médiathèque caldagués présente jusqu’au 6 avril une exposition sur le développement durable . Par égoïsme ou inconscience, obsession du profit ou véritable ignorance, l’homme serait en train de détruire la planète. Effet de serre, déforestation, gaspillage de l’eau, bouleversements climatiques, manipulations inconsidérées, pollution obèrent l’avenir de la planète. Les idées reçues en la matière font florès, mêlant souvent vérité et non-sens. Le développement durable est incompatible avec la mondialisation, c’est un développement au rabais pour les pays du sud, c’est zéro déchet. La société civile n’est pas motivée par le développement durable qui n’est qu’une couverture morale pour les entreprises. En quelques planches bien illustrées, quelques livres accessibles à tous, cette présentation, du «  Développement durable  » tord le cou à pas mal de clichés et remet en place quelques vérités, atomise les c

Un conseiller rien que pour vous

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Intervention gratuite

Florence Bout la photographe de la famille.

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Cet après-midi-là, le golf, ses trois trous et son practice s’ennuient sous une bruine pénétrante d’humidité et de froidure. Florence attend sans impatience.Le Godin diffuse une chaleur confortable. Achille s’est endormi devant la télévision. Sur la table, plusieurs spécimens de produits témoignent de l’activité professionnelle de Florence. Après des études normales, elle intègre la cité du Design à Saint-Étienne, une référence, section beaux-arts. Elle y aborde la peinture, l’atavisme familial parle, tout autant la photographie sans prépondérance d'un médium sur l'autre. «  En sortant de l'école, j'ai petit à petit accentué ma pratique de la photo en dépit de la peinture. Bien que je dessine encore un peu juste par plaisir parfois. » De correspondante de presse à gérante de camping, elle passe par plusieurs expériences. Mais le reflex demeure en toute circonstance. Elle exerce son talent jusqu’à évoluer vers le professionnalisme depuis deux ans. Elle ouvre les

Intergénération donne dans le culinaire

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  Disons-le tout de suite malgré sa retraite, Simone Gascuel n’a pas perdu la passion de son métier de cordon-bleu. Elle partage désormais son art avec parcimonie en offrant bénévolement des cours, si l’on peut dire, à quelques privilégiées de l’association Intergénération. Si l’ex-restauratrice d’Auvergne n’a rien gaspillé de sa ferveur. Elle a conservé intacts son talent, sa pratique et sa nature. Elle le prouvera au cours de cette session dans sa cuisine personnelle où cinq femmes ont pris place autour de l’îlot. Le menu affiche : pâte à choux, chantilly, craquelin et terrine de saumon aux lentilles. Elle distribue le programme et la liste détaillée des ingrédients. Elle commence à fournir un torchon à chacune des candidates. «  Je ne sais pas cuisiner sans mon torchon . » Et d’inventorier les instruments indispensables éparpillés sur le plan de travail. Puis les choses sérieuses démarrent. Le microcosme écoute, entend, apprécie, retient. Un récipient avec du beurre dans l’eau

Rencontres autour de la précarité alimentaire

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Durant la semaine du 14 mars, les quatre maisons des services vont accueillir des ateliers de discussion « Rencontres autour de la précarité alimentaire : vers une alimentation de qualité pour toutes et tous ». Ces temps de deux heures, animés par Clémentine, chargée de mission sur l’alimentation à la communauté de communes, et Mathilde, doctorante sur l’accès à l’alimentation, seront l’occasion d’échanger et dialoguer autour de vos expériences et initiatives mais aussi d’en découvrir de nouvelles ! Avant tout, l’objectif de ces rencontres est de vous donner la parole ! ci-joint le déroulement de ces ateliers, notamment dans votre Maison France Services de Chaudes-Aigues. Pour plus d’informations vous pouvez contacter Clémentine VANLAER, 06 49 34 08 84.  

La Gaule fait le point avant l’ouverture

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    Une quinzaine d’adhérents participait à cette assemblée générale de la société de pêche caldagués qui se tenait à l’enclos. Le président Thierry Mouliade ouvrait la séance en remerciant les présents. Il laisse immédiatement la parole à son trésorier René JOB qui présentait le bilan d’une gestion rigoureuse. Monsieur Mouliade poursuivait avec le rapport d’activités de la Gaule. Le prélèvement autorisé de cormorans a atteint son quota. Cette élimination s’effectue avec Saint-Flour dans le cadre juridique réglementaire. Le dossier du chemin de la sablière, en bordure du lac de Sarrans, revenait sur la table. Cette voie se trouve en mauvais état et mériterait un entretien même sommaire, un simple coup de niveleuse pour boucher les nids de poule et autres avatars provoquant des flaques et trous d’eau. Le nombre de permis délivrés reste stable. Avant l’ouverture, cent kilogrammes de truites seront lâchés dans le Remontalou en des lieux selon la météorologie en principe en amont du ruis

Chapitre trois de la contestation au collège Louis Pasteur.

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  Une semaine de protestation vient de se dérouler au sein du collège Louis Pasteur. Elle dénonçait la fermeture d’une classe de 4e l’an prochain alors que l’effectif ne cesse de croître. Louis Pasteur accueillera entre 112 et 114 collégiens contre 82 en 2017, une augmentation de 40 % en 5 ans. Depuis la rentrée 2020, 32 élèves se trouvaient répartis en deux cours de même niveau, 6e, puis 5e. En septembre 2022, ils ne constitueront qu’un seul groupe de 4e. Cette fermeture intervient tandis que 32 adolescents, comme cette année, reprendront en septembre. Les parents et les enseignants ont pris acte de la disposition et de la proposition du rectorat d’accorder 15 heures supplémentaires en contrepartie de la suppression. Ils souhaitent, exigent, le maintien des deux classes. La manifestation se tenait samedi 5 mars après la journée blanche du jeudi 3. Questionné sur ce dossier, le porte-parole du mécontentement Thomas Mathieu, professeur de mathématiques, nous affirmait. « Pour l’instan

Une rencontre tronquée pour le HBCA

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  Voilà quelques semaines que nos filles du hand n ’avaient pas jouées à domicile dans un championnat départemental quelque peu bousculé dans son organisation. Elles recevaient ce samedi Saint-Mamet qui vogue dans les hauteurs du classement de cette saison. Comme d’habitude les thermales abordent leur match avec optimisme et une envie indéfectible de pratiquer une discipline qu’elles apprécient. Elles s’y adonnent avec gourmandise, aux prétentions toujours limitées. Dès l’entame tout un chacun comprend immédiatement que la victoire reste illusoire. Les deux camps n’évoluent pas dans la même catégorie. Les visiteuses prennent aussitôt l’ascendant sur leurs hôtes. Plus rapides, plus mobiles, d’une corpulence agile à l’instar de leur numéro 11, elles se faufilent, s’infiltrent au milieu de la défense caldagués en des combinaisons visiblement bien préparées. On constate que le handball a changé de formule. Jusqu’au repos, les locales parviennent à entreposer des points, mais l’affichage