LES BONHEURS DE PAULOCHON

Profitez, c'est gratuit!

  Daniel Humair est un batteur et compositeur de jazz ainsi qu’un peintre suisse, né le 23 mai 1938 à Genève. Il est considéré comme l’un des meilleurs batteurs de jazz mondial. Parallèlement à sa carrière musicale, l’artiste poursuit une intense activité de peintre depuis 1963. Vous pensez bien qu’un fan ne manquerait pour rien au monde son passage en Caldaguès pour le rencontrer. Il m’a accordé 45 minutes d’interview. Il possède une mémoire phénoménale. Je ne retranscris pas ici la totalité de l’entretien souvent en termes ésotériques pour le grand public . Extraits d’u ne discussion à bâtons rompus. Autodidacte, il affirme: C’est un avantage qui donne une immense liberté. On pioche ici ou là selon nos envies dans n’importe quel domaine. Mais cela m’a valu une grande désillusion lorsque j’ai voulu me mettre au piano pour lequel il fallait détenir une maîtrise technique que je ne possédais pas. Du coup, le piano… Avec Miles Davis , nous logions dans le même hôtel à Paris, n

Le repas annuel de Chaudes-Aigues-pétanque se déroulera le dimanche 6 août, non le samedi 5, dans le cadre de la fête d’été. À partir de 19 heures au menu : Melon, pavé de bœuf, Aubrac, aligot et tarte. À 21 heures suivront, la soirée dansante et à 23 heures le feu d’artifice. Pas de réservation : les premiers arrivés se verront les premiers servis.

  Renée Salson fait partie du groupe Intergénération, inépuisable de talents. Les nombreux ateliers de l’association comptent parmi eux un module dessin où de multiples prodiges locaux ont éclaté. Chaque été la médiathèque Saint-Jacques accueille un ou une artiste issu du clan. Cette année, Renée Salson de Neuvéglise passera deux mois rue Saint-Jacques avec une trentaine de compositions. Élève de Sandrine Boucharinc puis de Marianne Dorléans, elle photographie son environnement et le reproduit. Alors qu’elle participait à l’unité vannerie, elle admirait les œuvres du cours de peinture. Elle posait quelques questions et elle essayait, l’expérimentation s’avérait concluante. Un taureau, un pont, le barrage de Grandval, un viaduc, des portraits, le château d’Alleuze, des coquelicots, de Garabit à un coucher de soleil figurent parmi sa sélection. Renée aime à reproduire et brosser un tableau de son environnement en particulier. Représenter son quotidien, ses paysages de proximité, son uni

  D’aucuns se plaignent de la place tenue ici par les pétanqueurs. Rien d’anormal, ils transmettent leurs occupations. On appelle cela de la communication que les résultats s’inscrivent en leur faveur ou pas. Ils enfièvrent également chaque vendredi avec leur tournoi hebdomadaire qui connaît une réussite croissante. Le 21 juillet, ils accueillaient 52 doublettes tant et si bien que l’association devient victime de son succès. Le terrain qui leur est réservé s’avère bien trop petit, et mal éclairé par endroits. Désagrément qui fait dire au président «  c’est bien la peine que nous organisions des animations si les lieux ne sont plus adaptés. Voilà longtemps que nous réclamons un espace plus vaste et mieux éclairé ». Le mercredi 19 juillet, les équipes de Chaudes-Aigues-pétanque disputaient une manche du championnat départemental des plus de 60 ans. Le groupe de Bernard Bonnal se composait de Serge Bonnal et Jean-Paul Bonnal (frères du premier nommé) avec Pierre Auguy, Michel Rouzaire e

  Nouvelle formule

Déjà avant la pandémie, ils envisageaient, l’un comme l’autre, de quitter leur emploi. Embrasser un commerce dans la restauration de préférence, compte tenu de l’expérience de Manolo durant près de deux décennies dans la filière. La COVID éteinte, ils continuaient à chercher sans se presser, prendre le temps de choisir, diverses opportunités se révélaient, mais sans succès pour des raisons variées. Puis Émilie et Damien propriétaires du Gravier et du « tabac souvenirs » contigu voulaient passer à autre chose. Se présentait donc l’occasion rêvée : son emplacement, sa clientèle, sa dimension. Le 11 juillet, Nadia et Manolo recevaient les clés des boutiques, l’aboutissement des démarches et du périple administratifs qui dura plusieurs mois. Aujourd’hui, ils se montrent satisfaits de leur changement d’autant qu’une de leurs filles va travailler avec eux. «  Nous n’allons pas faire subir de multiples bouleversements au fonctionnement actuel de nos commerces. Nous prenons nos mar