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Affichage des articles du juin 26, 2016
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Quelques vues du samedi après-midi où quelques  records d'affluence tomberont certainement
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Deux ou trois clichés de ce samedi matin.   Insolite Quelques religieuses d’une congrégation italienne se sont retrouvées par inadvertance à l’entrée du Cantal'ink. Exceptionnel Maître Honda, tatoueur japonais traditionnel, fait l’admiration et aiguise la curiosité de tous les visiteurs. Petit commerce Les frères Gastal, Joël et Richard sont devenus maîtres ès pliage de t-shirts. Qui plus est, ils vous disent votre taille rien qu’en vous voyant. Exceptionnel aussi.
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Une ouverture en musique. Le Cant'ink troisième du nom s'est ouvert vendredi soir avec déjà beaucoup de musique et moult commensaux pour le repas concocté par Simone Gascuel. La nuit était bien avancée lorsque les amplis se sont tus. Stéphane résumera cette veillée d'armes par la formule suivante : «  Ça démarre bien pour une manifestation qui n'a pas encore commencé  » . Notre coup de cœur va aux Aveyronnais « L es ennuis commencent  » et nous saluons par ailleurs les Cantalous de «  The oddments  ». Les ennuis commencent The Oddements       Pour le programme de ce samedi, c'est là http://www.festival-tatouage.com/fr/convention/programme-du-festival-2016
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Festival de tatouage, ce qu'ils en pensent.   Nous avons envoyé un questionnaire aux élus locaux pour connaître leur sentiment sur le festival de tatouage qui se déroule ce premier week-end de juillet. René Molines, Pierre Jarlier, Louis Raynal, Vincent Descoeurs, Céline Charriaud et Jean-Jacques Monloubou nous livrent leur avis sur la manifestation. Ils sont unanimes pour reconnaître comme Pierre Jarlier que « L e festival du tatouage, porté avec passion par Stéphane Chaudesaigues, montre que nos territoires se prêtent parfaitement à ce type de manifestation qui va accueillir des spécialistes de renommée mondiale dans ce cadre privilégié. A titre comparatif, je prends l’exemple du festival de théâtre de rue à Aurillac. Qui aurait pensé, dans nos territoires ruraux, que cet événement, très moderne et très urbain serait une des signatures de la ville cantalienne dans le monde entier.  » Et louis Raynal d'abonder dans ce sens avec un autre parallèle qui met bien e
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Grand nettoyage en grande hauteur. Baptisée à l’origine Église Saint Martin, elle prit, au 18e siècle, le nom de Saint Martin-Saint Blaise, associant ainsi au culte de Saint Martin celui de Saint Blaise, patron d’une ancienne communauté de prêtres Caldagués. D’abord simple vaisseau surmonté d’un modeste clocher et entouré d’un cimetière, elle s'agrémenta au 14e siècle de deux chapelles dans la première travée. L'une, à droite, consacrée à Notre Dame et à Saint Blaise, l’autre, à gauche, fondée par Guillaume de Montvallat. Au 18e , l’église qui a beaucoup souffert depuis sa construction est restaurée. Au 19e , le clocher découronné durant la Révolution est refait. On bâtit les 41 marches qui mènent au parvis, on place dans le chœur un maître-autel en chêne, œuvre du sculpteur local Roche. En 1974, les voûtes, les murs, les arcs sont restaurés. L’abside en hémicycle conserve son mobilier de valeur : boiseries, lutrin en pierre ,d’époque Louis XVI, un aigle aux ai
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Stationnement et circulation pour le festival de tatouage 2016  Clicquer sur l'image pour agrandir
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Quand un gymnase devient un lieu de convention de tatouage.  
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« Les Sillons de la liberté » ont conquis le public «  En 1950, en Bretagne, on n’avait pas le choix, on était marin ou paysan, j’étais le seul de la classe à choisir ce métier. Les filles aimaient mieux les marins, ils étaient riches, nous, on était des bouseux. J’avais 15 ans lorsque mon père est décédé, j’ai été obligé de quitter l’école, 15 ha à 15 ans, ça fait beaucoup pour un jeune, mais encore aujourd’hui, je ne le regrette pas... ». René Duranton spécialiste du monde rural dresse le portrait de personnalités qui perpétuent le travail à l’ancienne. Avec « Toi l’auvergnat dernier paysan » il nous montrait le refus d’un agriculteur à entrer dans le modernisme. Pour « Renée Bagelet » il nous dessinait le positif d’une femme de caractère. Pour les « sillons de la liberté » il s’est déplacé en Bretagne pour nous décrire un breton têtu comme un auvergnat. Dans le respect de l’Homme, des animaux, des traditions bretonnes, la caméra de René Duranton effectue un bond en
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Ta touage et cinéma, L a Source ouvre le festival dés mercredi.   La salle obscure Caldagués, si elle avait participé comme lieu de rencontre et de spectacle sur les éditions précédentes, elle devient active dans la programmation du festival. L’exploitant vient de présenter une affiche « spécial festival » pour cette semaine du mercredi 29 juin au mardi 5 juillet. Des œuvres emblématiques avec le tatouage pour acteur principal : Alabama Monroe, Mon tonton ce tatoueur tatoué, et un classique des classiques dans une copie entièrement restaurée, un film inscrit au patrimoine avec Jean Gabin et Louis de Funés : L e tatoué . Ces œuvres seront multi-projetées tout au long de la semaine. Romantisme, jeune public et comédie tous les goûts et tous les âges y trouveront leur content. Alabama Monroe  ( Mercredi 29 juin à 21 heures, vendredi 1 juillet à 17 heures et mardi 5 juillet à 21 heures ) : Didier et Élise vivent une histoire d'amour passion
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Jean de la Fontaine invité d'honneur de la soirée de l'école. Les élèves de CM et de CE ont visité, au cours de leur voyage à Nîmes, le château de Bosc où vécu Jean de la Fontaine à Uzès. Durant pratiquement toute l’année les enfants ont appréhendé l’univers du fabuliste. Normal donc que Jean de La Fontaine se retrouve l’invité d’honneur de la veillée. Une séance qui connut une belle réussite, la salle Beauredon atteignait son taux de remplissage sans doute le plus élevé. Reconnaissons aussi que les enseignants et les écoliers avaient mis tous les atouts de leur côté pour que cette fête se transforme en succès. L’écrivain se tailla la part du lion au cours de cette performance à laquelle petits et grands furent associés. Avouons que dans la culture populaire les fables de Jean de la Fontaine sont connues et sues de tous. Alors le public entra avec enthousiasme dans cet univers familier. Tous les élèves sans exception participaient à degré plus ou moin
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ISDIS une artiste hors du commun À notre arrivée dans la chapelle des pénitents un photographe professionnel a installé ses « parapluies » et réflecteurs. Les flashs crépitent pour attraper le cliché d’une dame à l’âge certain qui se tient devant son «  autoportrait en robe jaune du Youcatan  ». Simone Cornet-Deshayes, sous le pseudonyme d’ISDIS expose ses œuvres depuis le 14 juin dans cette chapelle emblématique. Née en 1928 elle a intégré l’École des arts décoratifs de la rue d’Ulm et les Beaux-Arts. Elle peint depuis 1979 en trouvant son inspiration à Bougival, à Marly et bien sûr dans les Albères et Côte Vermeille où elle possède une maison à Saint-Génis-des-Fontaines. Simone Cornet-Deshayes est née en Auvergne à Chamalières. Elle a donc intitulé son installation «  retour en Auvergne  ». Elle crée de façon «  internationale : je me sers de peinture à l’eau anglaise, de papier français, d’éponge grecque et de pinceaux chinois  ». Détient une prédilection pour la bea