LES BONHEURS DE PAULOCHON

du premier mois de 2024

L’exposition itinérante sur le barrage de Grandval demeure un projet de collecte et de valorisation des mémoires de la retenue hydraulique. Cet ouvrage s'avère exceptionnel et remarquable par ses dimensions et sa qualité architecturale. La présentation retrace l’histoire de la construction de l’édifice et de la vallée, à travers des témoignages, des documents, des photos et des vidéos. L’installation reste accessible à tous les publics et se déplace dans les bourgs centres de septembre 2023 à mai 2024. Elle se tient actuellement à la maison de services de la cité thermale jusqu’au 21 janvier. Le barrage de Grandval a contribué à forger l’environnement de la Truyère et des territoires de proximité. Sa construction a marqué et chamboulé le cadre de vie des habitants déplacés. La communauté de communes et ses partenaires présentent un travail de collecte mémorielle. Ils vous proposent de découvrir ce patrimoine incomparable et englouti relaté par des témoins : enfants du pays, ouvr

avec votre dentiste

  À la suite de la première étape de travaux dans les années Covid, sur les deux premiers niveaux, il restait la phase finale à exécuter pour le haut du quartier Saint-Michel. Les travaux ultimes arrivent à leur but. Effacent tous les inconvénients inhérents à ce chantier. L’implantation du lotissement remonte au milieu des années 1960, depuis les techniques, pour ne pas dire technologies, et aménagements ont évolués. Trois maisons se sont construites en bordure de la cité dont il convenait d’intégrer les canalisations avec les réglementations en vigueur pour certaines situations atypiques effectuées au fil du temps. Plusieurs semaines d’ouvrage s’installaient dans les lieux à slalomer entre les engins ou éviter trous et tranchées d’une chaussée défoncée dans sa totalité. Les résidents et riverains subissaient les inconvénients, comme partout, de travaux divers destinés à établir une différenciation effective des eaux pluviales et ménagères et l’enfouissement des réseaux secs. Les

  L’amitié en Caldaguès, club des anciens, depuis de nombreuses années se déplace dans un établissement connu pour son accueil, la qualité du service et de la cuisine quelques jours avant la nativité. Cette fois-ci, ils se retrouvaient quatre vingt-onze autour d’une immense, disons de plusieurs, table pour préparer, s’entraîner en vue des agapes familiales de fin d’année. Entre Kir, et coquilles Saint-Jacques, sans oublier le chapon, une omelette norvégienne et verre de champagne, mandarines et papillotes, fromage et dessert et pour couronner le tout des rosé, blanc ou rouge agrémentaient ce festoiement. Quelques valses, tangos, slows langoureux, et autres paso-doble achevaient la matinée dans un contentement de bon aloi. Le covoiturage ou le bus s’instauraient de rigueur. La séance amicale et festive a porté ses fruits et satisfait tout ce monde à la jeunesse avancée.     

Avec la soprano Marie-Hélène Cussac il s’avère inutile de retracer sa carrière pour ajouter à sa renommée tant elle est appréciée, populaire. Elle prodiguait un spectacle mardi soir en la chapelle Notre-Dame de Pitié à Chaudes-Aigues. Un peu Caldaguès par son grand-père, elle se faisait une joie d’offrir un concert au pays des eaux chaudes dans ce qu’elle appelle ce petit joyau à l’entrée de la ville . Elle avait choisi de donner cette séance à la bougie. Un paramètre irrévérencieux s’est glissé dans cette organisation : le froid. La cantatrice n’a pas renoncé à sa prestation en dépit de cet inconvénient. Les lumignons créent une ambiance, masquent la fraîcheur, la sensation reste cependant dans son entièreté. Même si la froidure a tendance à casser le chant. La soprano malgré ce désagrément demeurait enjouée, optimiste et tout en sourire. Elle présentait ses interprétations sans condescendance, joyeusement, en toute humilité. Ces représentations intimistes à la lueur des chandelle

Réservations lacoupole.net 12 boulevard Pasteur 63000 Clermont-Ferrand

  Depuis des années, la tradition de la crèche en l’église caldagués se trouve bien ancrée dans les habitudes. Sa spécificité : une taille imposante et une installation construite avec de nombreux acteurs. Germain Vaissade l’architecte possède toute une équipe aux taches bien précises. Yvette son épouse le seconde. Jean Chareire a structuré la rivière qui coule vraiment. Didier Janin donne un coup de main pour les gros travaux. Jean-Pierre Batifol ne laisse pas sa place. Marie-Louise Dumas effectue sa part. D’aucuns prêtent des composants comme Sylviane, Myriam ou Stéphanie. Pierre Borel met à disposition sa charrette avec les bœufs. En fin de compte, ce sont, dans l’ensemble, plus de deux cents heures qui occupent les uns ou les autres. Cette année, un inconvénient menace l’ensemble, le temps doux fait grimper la température de l’édifice et le chauffage par le sol dégrade les éléments naturels. Assèche les feuillages, les mousses, la verdure ou le houx. Car nous devons préciser que