LES BONHEURS DE PAULOCHON

La municipalité caldagués a décidé de lotir un espace au lieu dit « L’enclos ». Trois parcelles de 800 mètres carrés environ sont à disposition de ceux qui souhaitent construire une habitation quasiment en centre bourg, à proximité des commerces et autres services de santé. Ce lieu dit l’enclos appartenait en totalité à la famille Brémont qui le tenait fermé, presque inaccessible, traversé par un ruisseau. Mais racontons son histoire qui remonte à la nuit des temps. Premiers écrits au 13éme siècle. « À l’entrée de la vallée du Remontalou, du côté de Saint-Flour, sur un roc escarpé, surplombant la rivière, s’élève un château: Château vieux. Robert de « Château vieux »,vit sur un territoire distinct de la ville de Chaudes-Aigues qui s’étend depuis le château jusqu’au Remontalou à l’Est et au sud jusqu’au ruisseau de Merderic, a fait édifier à ses frais une église consacrée à Saint-Julien. Saint Julien formait une agglomération distincte, administrée différemment de la ville de

Émilie et son équipe Nous ne vous rappellerons pas, comment Marc Antoine Kieffer se retrouve à Périgueux à gérer deux établissements avec Emilie, son épouse. La réputation de leurs commerces, appréciée par les sélectionneurs de la meilleure boulangerie de France produite par M6, ils intègrent l’émission et se prêtent au jeu, symbolisent le département de la Dordogne. Mardi 11 avril à 18 h 35, les Caldaguès, tous téléviseurs allumés sur M6, participaient. Quatre épreuves demeurent à franchir tout d’abord l’agencement et la tenue de la boutique. Ensuite, confectionner un gâteau, puis présenter un pain fabriqué sur place le jour même. Le défi ultime consistait à préparer une confiture de melon. Notre Caldagués et Émilie se retrouvent vainqueurs de la manche départementale de Dordogne. Ils devront attendre ce vendredi 14 avril pour connaître s’ils deviennent les représentants de la région Nouvelle-Aquitaine. Pour Émilie et Marc Antoine : «  Nous avons vécu une expérience intéressan

  D'aucuns vont braire en apprenant que les collégiens ont passé plusieurs heures en compagnie, virtuelle, de Pierre Soulages. Alors qu' il s’avérerait plus judicieux de leur enseigner l’anglais ou les mathématiques. Sauf que l’Éducation ne détient pas vocation à remplir une outre, mais à entretenir un feu, affirmait en substance Michel de Montaigne . Il serait malheureux qu'en voisins les élèves Caldagués ne soient pas sensibilisés à l’outre noir tandis que son temple demeure proche. C’est aussi l’occasion de rencontrer des professionnels qui parlent de leur métier, ouvrent d’autres horizons. Bref, ce vendredi après-midi, 80 jeunes de Louis Pasteur participaient à cette découverte au cinéma La Source. Tout d’abord en ouverture, ils assistaient à La naissance d’un musée durant près d’une heure avec le film de Jean-Noël Christiani. Ils suivaient les diverses phases de sa construction, appréhendaient l’art du maître mondialement reconnu. Après cette projection devait se

 Il neige sur Sansard

. Disons-le tout de suite, les anciens de Lieutadès ne se compliquent pas la vie pour leur assemblée générale annuelle. Ici, en une demi-heure, ils vont à l’essentiel. Monique Delfau ouvrait la session et demandait une minute de silence pour les disparus et une pensée envers les absents malades. Lucien Cavalier, le secrétaire, établissait un inventaire des animations pour l’année écoulée. Le voyage en Bretagne laissait des souvenirs magnifiques aux villégiateurs. Il n’oubliait rien depuis la visite du château de Rochebrune en passant par le quine, les anniversaires tous les deux mois. Il ajoutait, les floralies et la conférence sur les papillons, le repas de Noël ou la fête du four à Lauzardie. L’assemblée approuvait son rapport à l’unanimité. Paulette Boudon, la trésorière, soumettait un bilan dont la soustraction des dépenses aux recettes affichait un solde positif. La salle entérinait une gestion détaillée et rigoureuse, au centime d’euro près. Le renouvellement par tiers con

Démarrage difficile pour les pétanqueurs.   La reprise pour Chaudes-Aigues-pétanque s’avère douloureuse. Pourtant ils sont plus d’une vingtaine chaque jour à s’entraîner sur le boulodrome municipal, soumis aux caprices des avatars météorologiques. Observez et admettez, que les plus assidus aux exercices restent ces dames et demoiselles. Samedi premier avril, aux qualifications pour le challenge départemental, cinq triplettes masculines se déplaçaient à Allanche avec l’espoir d’au moins placer une équipe, voire deux. Que nenni, pas une seule n’est sortie des poules. Malgré une bonne ambiance, les conditions météorologiques exécrables démotivaient le pétanqueur lambda. Ceci n’excuse pas cela. Inutile de vous dire la déception du président Bonnal. Ce qui devait se produire advint, une doublette féminine, Yolande et Charléne, s’est retrouvée, elle, à disputer les phases finales le lendemain à Aurillac. Le président, consultez les archives, avait affirmé, prémonitoire : «  Un j

 Ils étaient nombreux, selon les organisateurs. Non ! Ils étaient beaucoup, selon la police Quoiqu'il en soit je vous en reparle prochainement