LES BONHEURS DE PAULOCHON

Alfred de Musset écrivait : qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. L’intonation de la voix, le physique, la silhouette de Jojo, pour les intimes, ont provoqué leurs effets. Environ six cents spectateurs sont venus voir et entendre Richy, sosie de Johnny Hallyday, durant deux heures. Ce n’était pas Johnny même si parfois on pouvait se laisser leurrer au cours du concert. Mais ils ont apprécié le flacon du temps avec l’ivresse de la nostalgie au bout du compte. Le show, sans quasiment aucune pause, chanteur et musiciens se produisaient à l’aune des prestations du taulier Hallyday . Richy captait le public, l’incitait à pousser la chansonnette avec lui, bouger aussi, ce qui dans le Cantal tient de la gageure. L’artiste donnait tout sans singer le vrai. Il restait Richy «  sosie  » de Johnny Hallyday. Il refuse le mot imitation. Il demeure interprète, lui ressemble physiquement, certes, mais tout ceci s’arrête là. Il accomplira avec musiciens et choristes une performance s

  Le Maire et le Conseil Municipal à l’occasion de la fête votive ont souhaité aller à la rencontre des habitants. « C ar depuis deux ans maintenant du fait de la crise sanitaire, nous n’avons pas pu nous rassembler, notamment pour la traditionnelle cérémonie des vœux. » C’est donc le dimanche 7 août qu’ils informaient sur les différentes opérations menées depuis leurs deux ans de mandature. Tout d’abord ils veulent restituer à Chaudes-Aigues sa véritable identité de station thermale axée sur la propreté «  en dotant nos services d’une balayeuse de grande qualité. Le fleurissement fut amélioré et étendu. Nos nombreuses actions, conduites ici ou là, donnent une image positive de Chaudes-Aigues. La création de l’aire de jeux et la consolidation des allées du Parc Émile Ruc, l’installation d’un bac à eau chaude place au beurre, le développement des éclairages de Noël y participent. » Le patrimoine de la collectivité notamment le réseau routier a bénéficié d’un programme de rénovat

  Les vendredi et samedi 30 et 31 juillet, après des années d’absence, s’est déroulé le premier challenge de tennis depuis la reprise du club il y a presque un an.Afin de  permettre une participation élargie, le bureau choisissait de proposer une tournoi amical ouverte à tous, licenciés ou non. Le vendredi, place aux enfants avec un tableau avec 100 % de vacanciers, restons chauvins, mis à part Camille Rouquette assimilé « local ». Avec certains déjà classés, cela produisait des matches très disputés et un joli niveau global.Espérons que l’an prochain, les jeunes de l’école de tennis, grâce à leurs progrès,   pourront à leur tour débuter en compétition officielle ou amiable. En finale, saluons le superbe succès de Atso Bellanger face à César Bouchard, deux bons éléments,  très investis dans ce sport. Samedi, place aux adultes avec une seule féminine, Carole Sadron qui a donné du fil à retordre au premier tour à Jean Luc Boucharinc. Ce dernier, par la suite, perdait contre le futur v

  Dès le matin tombait la décision définitive et incontournable, les autorités du service d’incendie départemental refusaient l’agrément de tirer le feu d’artifice de la fête votive. Le verdict en définitive ne surprenait pas compte tenu de la situation météorologique. Tout le Cantal se trouvait logé à la même enseigne. Espérons-le.  Quoi qu’il en soit ce fut, malgré tout, une belle journée avec pour commencer le vide-tout qui animait les rues piétonnes et occupait le curieux autochtone ou touriste. En matinée, la bourrée du Caldaguès prenait le relais du côté du Gravier avant de donner sa représentation complète sous la canicule au parking de la piscine, lieu des festivités locales. Chaudes-Aigues pétanque épuisait rapidement ses 250 pavés de bœuf aligot dés 20 heures. D’aucuns se trouvaient fort dépourvus, fâchés, la nuit venue. Mais s’il existe une formule de réservation, elle facilite le travail des organisateurs et la satisfaction du client. L’absence de feu d’artifice aurait

Après presque trois années d’interruption, la chorale Caldaguès a retrouvé depuis plusieurs semaines ses activités. Beaucoup d’automatismes se sont émoussés. Certains membres ne sont pas revenus, mais plusieurs arrivées compensent largement les départs. L’effectif demeure stable à deux ou trois prés. Tous les membres ont repris, sans discontinuer, le chemin des répétitions hebdomadaires. Il restait à recouvrer l’homogénéité de l’ensemble. Fatalement, la relance ne va pas de soi. Après ces 36 mois d’absence, les choristes du Souffle du Par sont heureux de vous inviter à leur prochain concert : le samedi 13 août 2022 à 20 h 30, en l’église Saint-Martin/Saint-Blaise de Chaudes-Aigues. Afin de rendre ces retrouvailles encore plus exceptionnelles, le groupe a souhaité partager ce moment avec le pianiste Christophe Renard, qui ponctuera ce concert autour de grands standards et de balades de Jazz. Entrée libre.  

  C'est ouvert à tout le monde que vous soyez licencié ou pas.   L'amitié en Caldagués ? Il s'agit du club des ainés.

  Adoubé par le taulier lui-même, ce sosie officiel du chanteur n’ a plus un jour de libre depuis la disparition de son idole des jeunes. Galas, fêtes étudiantes et animations diverses, seuls ou avec son orchestre, le Johnny bis, remplit désormais les salles. Outre le titre officiel, les médias l’ont surnommé « le jumeau », il vous fera revivre en « live » toute l’émotion de la carrière du plus grand chanteur français de tous les temps. Ne lui dites surtout pas qu’il est un imitateur. « P as du tout, je chante avec ma voix, j’ai toujours été musicien et chanteur. Je ne cherche jamais à ressembler à Johnny, à singer ou quoi que ce soit. C’est pour cela que je m’appelle Richy et pas Johnny machin chose à l'instar de tant d' autres. Il en pousse tous les jours depuis qu'il est parti. » Le 10 août vous embarquerez avec ses chansons. Du lourd qui sonne vrai, laissez-vous emporter dans le tourbillon sur les orchestrations originales de Johnny Hallyday, accompagné de ses e

Le conte vise à distraire ou à édifier, il porte en lui une force émotionnelle puissante. Il se distingue des autres récits par l’acceptation de l’invraisemblance propre au genre, surtout avec la fameuse phrase d’introduction traditionnelle « I l était une fois  ». Beaucoup de gens aimeraient tenir la place de Laurent Occelli, diseur, qui connaît plein d’amis dont il parle souvent, sait des péripéties et des mythes que ses compagnons lui relatent. Laurent Occelli possède une belle propension à raconter des histoires avec une décontraction déconcertante comme s’il les avait vécues. Il demeure lui aussi une personnalité du conte qu’il déclame. Il mime des situations, joue des fonctions. Individu Protée, il passe d’un aventurier à d’autres rôles. Il se métamorphose en Toinou. Héros de sa première fable, parti à la recherche de la chance qu’il ne trouve pas, il ne s’aperçoit pas qu’il l’a croisée sur son chemin. Ce lundi soir à la fraîche, il a conquis avec ses histoires trente-deux s