LES BONHEURS DE PAULOCHON

                                                                                                             

La célébration de Sainte-Barbe reste pour les sapeurs pompiers, synonyme de fête, mais également l’occasion d’établir un compte rendu de l’année écoulée. «  Avant cela, je tiens à revenir sur la campagne de recrutement de l’année 2018 qui se solde par un réel succès. Puisque nous avons la chance d’accueillir 5 conscrits. L’un d’entre eux déjà opérationnel, les autres le deviendront au cours du premier semestre 2019. Le corps de Chaudes-Aigues se retrouve fort de 28 sapeurs-pompiers ne pouvant plus agréger de personnel supplémentaire pour le moment. Le déficit d’effectif que nous rencontrons en journée résulte non pas, d’un manque de personnel qualifié, mais d’un défaut de disponibilité durant les heures de travail. » Le lieutenant Meideros poursuivait par le bilan de l’année écoulée. « A u cours de cette année, le centre de secours de Chaudes-Aigues a effectué 208 sorties entre le premier décembre 2017 et ce jour. 159 assistances à personnes, 24 incendies (habitation, brouss

Bon pour un lapin, un calendrier de l’avent, trois moules à pain, un poulet fermier, un porte-bébé, un spinner (c’est quoi ?), un accès gratuit au bowling, une boite de Lego, une bougie parfumée, une horloge, un cuiseur vapeur, une écharpe en laine du pays, un jambon, une bouteille tattoo, deux repas à l’hôtel de la mairie, un sac à dos, plusieurs entrées au cinéma La Source, un stère de bûches, deux places au parc aventure Truyére évasion, un aspirateur robot ou le contraire, une trottinette électrique, un ticket cadeau à Caleden, une croisière avec restauration à Garabit, un titre d’achat de 300 euros. Un inventaire auquel même Jacques Prévert n’a jamais pensé. Voilà une sélection de prix que distribuait le quine de l’école primaire et du Collège Louis Pasteur. Salle pleine et cartons à l’aune, la soirée se passait dans la meilleure des ambiances. Chacun pouvait espérer repartir avec un article n’importe lequel pourvu que la chance tombe sur lui. Au bout du compte, tous l

« Rémi sans famille » est adapté du roman éponyme d’Hector Mallot paru pour la première fois en 1878, qui se centre sur un enfant abandonné (Rémi)  vendu par ses parents adoptifs à un musicien ambulant (Vitalis). À ses côtés, il va apprendre la rude vie de saltimbanque et à chanter pour gagner son pain. Accompagné du fidèle chien Capi et du petit singe Joli-Cœur, son long voyage à travers la France, fait de rencontres, d’amitiés et d’entraide, le mène au secret de ses origines… À quelque chose prés ils étaient cent cinquante ce dimanche 25 novembre présents dans la sall e obscure Ca ldagu é s pour deux h e ures d’affectivité. À la sortie, le public se montrait satisfait par ce «  beau film aux pures émotions  ». U n b ouche-à-oreille positif court dans le pays des eaux chaudes . Les séances de sa reprise en janvier s’annonce nt sous les auspices d’une riche fréquentation . André Ben n et (originaire du Caldagués) la doublure lumière de Daniel Auteuil a pu échanger,

Les troisièmes du collège Louis Pasteur viennent de passer quelques moments à la médiathèque devant l’exposition, encore visible actuellement, accompagnés par leur professeur d’histoire, madame Ortiz : «  C’est au programme de troisième. Mais ils abordent le sujet par un côté général de cet épisode dramatique. Ici, ils découvrent, par le volet local, la Grande Guerre,  » la plus intense qu’ait jamais connu l’humanité, la plus meurtrière aussi. Un siècle plus tard, les archives municipales et diocésaines sanfloraines ont associé leurs fonds. Ces documents d’époque expriment par divers supports : journaux régionaux, correspondances avec des prêtres, témoignages a posteriori la façon dont les cantaliens ont appréhendé la mobilisation, les conséquences du conflit… la vie à l’arrière, les chroniques du microcosme, cartes postales . Les femmes ont pris la relève des hommes montés au front. Elles travaillent sans relâche, leur quotidien se rythme entre le dur labeur et le retour des mar

Samedi 24 Novembre, l’ASC recevait Saint-Flour en championnat. Composition de l’équipe: Jérémy Navech, Maxime Navech, Damien Panafieu, Aurélien Baumgartner, Bastien Pécoul, Nicolas Gascuel (capitaine), Cyril Charreire, Rémy Gémarin, Arnaud Juéry, Lionel Pascal, Thomas Tourrette, Damien Fourcade, Florian Chauliac, Éric Bonnal D’entrée, les Sanflorains manquent un coup franc. C’est un match très engagé physiquement qui se profile. À la 11ᵉ, l’ASC bénéficie d’une pénalité, concrétisée par Thomas Tourrette, dans les bras du gardien. Deux minutes plus tard, Cyril Charreire tente sans succès d’ouvrir le score, Au quart d’heure de jeu, Saint-Flour rate une nouvelle occasion sur coup franc. Sur un contre, Arnaud Juéry centre en vain : personne dans la surface sanfloraine (17ᵉ). À la 19ᵉ, un tir arrêté de Maxime Navech profite à Rémy Gémarin qui inscrit le premier but (1-0). L’ASC prend l’avantage. Les esprits s’échauffent en fin de première mi-temps. Ambiance tendue sur le terrain

JABRUN Sanivalo se trouve à 1079 mètres d’altitude le long d’une voie de communication Est-Ouest sur l’Aubrac qui pourrait posséder un effet structurant dans la création du parc Naturel Régional de l’Aubrac. C’était aussi l’ancien itinéraire qui allait de Réquistat, La Chaldette et de Saint Rémy de Chaudes-Aigues à la foire au bétail de Lacalm. Le village chargé d’histoire détient un patrimoine d’exception, notamment de très beaux bâtiments agricoles, le pont de Cayre (ou de Sanivalo) à trois travées sur le ruisseau des Taillades croix pattée de Sanivalo. Sa réfection valorisera le chemin de Lacalm, que souhaite rouvrir l’association des « chemins de l’Europe ». Outre la nécessité d’un débroussaillage, la construction présente plusieurs désordres de structure. On observe sur la façade avant des fissures importantes, la souche de cheminée doit être consolidée et le linteau intérieur repris sous peine de dégradations irrémédiables. La municipalité de Jabrun, à l’initiative

Juste une photo en attendant mieux pour appréhender sa fréquentation