LES BONHEURS DE PAULOCHON

La salle obscure Caldagués propose les quatre lundis d’août 2019 de visionner quelques films musicaux, des pépites cinématographiques qui vont sûrement passer inaperçues dans la vague des blockbusters de l’été. La Source, elle, vous invite à un voyage autour du monde, en famille ou avec les amis tout au long de ce mois. Direction l’Angleterre où plus personne ne se souvient des Beatles sauf un guitariste. Ensuite en Jamaïque Inna de Yard un documentaire sur les piliers du reggae qui retournent en studio avec le joint qui va bien. Puis un détour par Cuba pour connaître le destin fabuleux de Yuli un danseur des rues. Enfin, le tour s’achèvera à Nashville avec une chanteuse de country qui n’a rien à voir avec A star is born . Bon voyage Yesterday : Séance unique le lundi 5 à 20 h 30. F ilm comédie/musicale avec Himesh Patel , Lily James ... (1h57) : Hier tout le monde connaissait les Beatles, mais aujourd’hui seul Jack se souvient de leurs chansons. Il est sur le point

C’est à la Roche-Canilhac sur la commune de Saint-Rémy-de-Chaudes-Aigues que sont nées "les granges galeries". À l’occasion de la fête annuelle, les organisateurs proposent de mélanger l’art et le populaire en installant dans les fenils, garages et autres hangars des œuvres en présence ou non des auteurs. L’idée demeure depuis dix années. Ils invitent des artisans comme cette année un tailleur de pierre qui initiait qui le voulait bien, notamment les enfants trop heureux de manier burin et marteau. Le Parc Naturel Régional déployait une exposition et des documents sur l’environnement en Aubrac, dans un bel emplacement réservé. La rencontre se complétait avec Étienne Hérault en responsabilité au PNR du patrimoine naturel, de la biodiversité et de Natura 2000 chez Guillemette Marranes. De nombreux visiteurs fréquentaient l’endroit, ce jour-là, avec un accueil en forme de sourire de la propriétaire des lieux par ailleurs chanteuse lyrique et partisane de la permaculture. U

XINARCA offre un répertoire  autour du chant traditionnel corse monodique : chant sacré, chant de la tradition des chants de montagnes (chants anciens et compositions). Il s'accompagne d’un instrument rare, la « Cètera d’Oletta » la seule cètera d'époque  jouée encore aujourd’hui : elle a plus de 200 ans. Cet ancien cistre corse à 16 cordes a quasiment disparu au début du XXème siècle ainsi que son répertoire. Le dernier homme qui en jouait s'est éteint en 1934 et avec lui s'est perdue cette  tradition  orale dont nul enregistrement n'a conservé la mémoire. « Mes  inspirations sont les chants sacrés et de montagne et, en amont des sources, les sons, les appels , les silences, les stations, les contemplations , les bêtes, la façon de porter la voix de l'homme en montagne comme l es anciens bergers. L 'invocation de la nature brute dans toute sa majesté et l'intériorité religieuse de l'homme au cœur du mystère de la Création me guide nt

Premier plongeon Premières naïades 

Avec hypnodrome vous vivrez une expérience extraordinaire   C’est Xinarca qui ouvre le bal en l’église Caldagués sa voix, comme un instrument, vibre en tous sens, emporté… Bref, ce spectacle sublime offre un répertoire d’une rare authenticité autour de mélopées traditionnelles corses monodiques. Le samedi, les festivités populaires débuteront avec un repas en plein air organisé par le comité d’animation. Une retraite aux flambeaux orchestrée par les petits Caldagués préludera à une soirée disco enfiévrée par AC alternative . Dimanche malgré les obligations de la veille vous devrez vous lever tôt pour prendre part au vide-grenier qui se déroulera rue Saint-Joseph et Notre-Dame d’août, inscription gratuite, à la mairie de Chaudesaigues 04.71.23.52.47. Au moment de l’apéritif participez à une déambulation musicale avec la banda de l’ASM qui remettra le couvert à 15 heures. Concomitamment au chemin de la mine la société de chasse tiendra son ball-trap annuel tout l’après-midi.

Sauvegardez les sur votre ordinateur

Elle ouvre ce mercredi 31 juillet à 15 heures.

Pour vous servir

Le jeudi 1 aout à l'église à 21 heures

De tout pour tous et même plus

ils ne lâchent pas

Les pétanqueurs thermaux accueillaient dimanche les clubs de Reilhac, Pierrefort, Massiac et Vic-sur-Cère. Ce challenge provient d'une initiative du comité départemental. Plusieurs manches sont inscrites au calendrier sur l’ensemble du Cantal le jeu consiste comme en football à s’adonner à plusieurs matches. Enfin, les points obtenus se décomptent pour nommer le meilleur. La compétition se structure en divisions dans lesquelles les équipes accèdent à la suivante selon leur hiérarchie sportive. Un championnat en six poules dont les premiers disputent la finale pour désigner le vainqueur. Divers déplacements sont donc établis. Chaudes-Aigues en sa qualité d’organisateur se trouvait exempt ce jour-là à domicile, mais avait effectué préalablement un voyage fructueux à Vic-sur-Cère. Pour l’instant les locaux peaufinent leur initiation avant de pouvoir parvenir à l’étage supérieur. Ils apprennent et disons qu’ils assimilent bien. S’il existait un classement pour l’accueil et le pa

Les territoires ruraux sont encore souvent parsemés de panneaux directionnels ou de publicités en tous genres qui peuvent constituer de réelles atteintes à la qualité paysagère. Quand ils sont trop nombreux, ils peuvent nuire à la lisibilité même de l’information dispensée. Le Syndicat mixte du Parc naturel régional de l’Aubrac a élaboré une Charte signalétique, afin de favoriser l’implantation d'un fléchage d’excellence. Mais de renforcer l’identité du terroir, de préserver la quintessence de l’Aubrac, tout en maintenant le renseignement nécessaire aux habitants et aux visiteurs sur l’existence de services, de commerces, d’activités et produits du terrain. Cette convention cadre, à destination des collectivités et des porteurs de projets, rappelle les différentes règles et mécanismes de communication. Elle formule des préconisations afin d’installer un balisage de caractère qui, tout en restant efficace, n’altère pas les perspectives et horizons remarquables de l’Aubrac

Avec François Lartigue je partage trois choses : le cinéma avec passion, mais c’est un lieu commun, la photographie là je l’affirme moins fort et l’année de naissance que je tais. Le jour du vernissage, nous nous sommes mis quelques instants à l’écart pour parler de lui et de son exposition en cette chapelle des pénitents. Au septième art tout d’abord, où il joue grand Gibus en 1961 dans La guerre des boutons d’Yves Robert, au côté de son frère, Martin, qui tenait le rôle de petit Gibus. Puis de son travail photographique. Laurent Bout, président du Clac notera dans son introduction : « V oilà 15 ans Martin Lartigue investissait cette même chapelle avec ses céramiques et peintures. François avec cette exposition d'instantanés noir et blanc fête cet anniversaire. » Né à Paris, François baigne dans une famille d’artistes : arrière-petit-fils d’André Messager, petit-fils de Jacques-Henri Lartigue. François Lartigue signe plus de 50 années de clichés. Une carrière précoce, en p