LES BONHEURS DE PAULOCHON

 Lundi prochain

  Corps d'écorce, est un ensemble de bronze conçus à partir d'assemblage de bois mort. Marc Petit affirme « J 'aime réaliser en général mes modèles en terre, cire ou plâtre, mais il m'arrive d'associer à ces matériaux de base de la corde, du tissu, du bois, branches écorces, etc. J'aime que le bois que j'utilise ait supporté les affres du temps, qu'il soit usé, abîmé, dans un début de décomposition qui lui apporte de surprenantes matières. L'essentiel des pièces présentées dans cette exposition ont été construites à partir de fragments d'un vieux chêne qui a brûlé il y a plus de 40 ans et que je vais chercher dans une forêt près de mon atelier ››.Les œuvres sont le reflet de son exceptionnelle renommée. Né à Saint-Céré, Lotois, presque voisin. Dès l'âge de 14 ans il réalise ses premières sculptures. Depuis sa première exposition personnelle à Villeneuve sur Lot en 1985, il obtient la reconnaissance du monde artistique et ses œuvres s’ ex

Déplacer le marché de pays au Couffour, l’idée peut paraître saugrenue, mais pas autant que cela. Là-haut au bon air, le lieu demeure vaste, à proximité du Camping à quatre pas du village de vacances. Tous les adhérents de l’association qui déballent chaque mercredi dans la cité thermale se retrouvaient jeudi soir aussi en altitude. En prime, un étal de la source des saveurs augmentait l’offre, donnait au chaland un choix plus conséquent. Par ailleurs, la possibilité de se sustenter participait au succès de ce premier essai. Et puis la nuit, les choses et les personnes n’apparaissent pas sous le même jour, qu’à l’ordinaire. Les stands proposaient essentiellement de l’alimentaire local : fromage de brebis ou de vache, aligot, charcuterie, farçous, pounti, pain, gâteaux ou crêpes. Météorologie au beau fixe, température idéale pour ce genre d’animation, conduisaient à la réussite. Isabelle Cros, initiatrice du projet, présidente de l’association, se montrait satisfaite de cet essai

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Ce mardi 6 août, une vingtaine de ciconiidés marquent une pause sur la propriété de Romain Chastang à La Conche d’Anterreieux. La nuit tombe. Pour les photos, ce pourrait bien être raté. La cigogne blanche pour le cas qui nous intéresse part vers l’Espagne en hiver. Elle préfère les zones proches des habitations humaines. Plus grande et plus lourde que la noire, elle possède une envergure plus large. Les plus âgées s’envolent plus tard que leurs cadettes. Elles comptent parmi les premiers oiseaux migrateurs à revenir dans nos contrées au printemps. Leur déplacement, contrairement à la croyance populaire, n’est pas lié au froid. Il n’apporte aucune indication, selon les scientifiques, sur la future météorologie de la saison hivernale à venir. Elles obéissent simplement à leurs habitudes pour effectuer les milliers de kilomètres de leur voyage.

  par des habitués, chaque année.

  Profitez en.

  du corso fleuri 

À son tout début, la CUMA a démarré avec sept adhérents, aujourd’hui elle en compte plus de soixante. Durant l’hiver 1973/1974, un petit groupe de «  pionniers/agriculteurs » de Fridefont, Anterrieux, Espinasse, Chaudes-Aigues, Lieutadès et Saint-Martial se retrouve régulièrement et entame une réflexion nouvelle basée sur le partage du gros matériel. «  À l’époque, on voyait arriver la mécanisation et on parlait déjà de mutualisation des moyens. » Très rapidement, le 24 avril 1974, une CUMA  ( coopérative d'utilisation de matériel agricole ) naît, « LA CUMA de L’Aubrac » ». Pour arriver à tout cela, ils pouvaient compter sur des exploitants motivés, mais il existait un homme sans qui tout ceci serait resté mission impossible : André Valette. Il était leur conseiller agricole et Michel Guilbot, considérait en son nom personnel et au nom de tous ceux et celles qui l’ont fréquenté à lui dire « Merci ! », lui rendre un hommage particulier. «  Il participait à nos réunions, toujours