LES BONHEURS DE PAULOCHON

L’assemblée générale du Grand Parcours se tenait au cinéma La Source. Marc Guibert remerciait les présents et tous les partenaires. «  Vous avez encore assuré avec enthousiasme le succès de la Rand’Aubrac. Sans vous les bénévoles, rien ne deviendrait possible » . Effectivement, les différentes manifestations à nulle autre pareille depuis 25 ans apportent de multiples déclinaisons toujours concrétisées. Ils comptent parmi les événementiels de pleine nature les plus notables de la région, les plus fréquentés et les plus marquants. Avec un millier d’inscrits, la Rand’Aubrac égale la Pastourelle à Salers, la Dabalade   à Sainte-Geneviève ou la Trace du fromage sur l’Aubrac. Au-delà du nombre, cette fréquentation demeure une réelle satisfaction pour les organisateurs, une belle reconnaissance pour tous les bénévoles, une nécessité financière comme chacun pourra le constater au moment du bilan économique, équilibré. Les instigateurs restent fidèles à l’essence de leur manifestation

C’est à la galerie French Arts Factory 19 rue de Seine que Fabienne Blas présente sa nouvelle exposition : bestiaire et hommes sauvages du 22 janvier au 3 mars 2019. Surtout inspirée par les us et coutumes festifs de l’Europe de l’Est, l’artiste crée depuis 1992 des masques truculents dans leurs matériaux traditionnels. Loin des soies pastel et des cuirs sophistiqués de Venise, les œuvres de Fabienne Blas se constituent de peau, de paille, de terre, et de bois, s'érigent en autoportraits de leurs régions natales. S uffisamment inquiétants, effrayants, voire menaçants, ils enflamment l’imaginaire comme ils aiguisent les fantasmes. À la fois témoignage artisanal et symbole culturel, le masque tel que l’ invente Fabienne redevient un attribut utilisé au sortir de l’hiver. L’objet surgit des lacs de Hongrie ou des forêts de Slovénie, véhicule avec lui les chimères autochtones. E ntre mythe et folklore, légende et romantisme, entre identité dissimulée ou faux visages, l’ esthéti

Cité Saint Michel                 Piscine     Mur d'escalade Thermoludique Je reviendrais sur chacun d'eux en détail prochainement

Il y a quelque temps, Loulou a passé sa journée à l’établissement hospitalier pour personnes âgées dépendantes, en bref à l’Ehpad ou à la maison de retraite Sainte-Élisabeth. « Mais qui est-ce ce Loulou ? Un chien, un chat ? » Rien de tout cela, un meneur de jeu invité par Linda Latréche, animatrice. Loulou est un joyeux drille qui amène dans sa besace un tas de divertissements. Il avait apporté de la terre, mais pas n’importe laquelle, celle dont on façonne des ustensiles, celle de Seuil-sur-Naurouze. Et le voici à s’affairer, passer de l’un à icelui, donner des conseils, aider les uns, féliciter les autres. Deux heures s’écoulent et c’est déjà le moment du déjeuner. Pendant ce temps, l’objet fabriqué se sèche et chacun peut l’emporter dans sa chambre. L’après-midi devient plus collectif puisque Loulou tire son sac des mélodies intemporelles. « J’apporte, du moins j’essaie, de procurer et de créer du rêve aux résidents, leur montrant ou faisant découvrir autre chose que leu

Histoire de taquiner le goujon

L'Assemblée générale est toujours l'occasion de dialoguer avec les représentants élus et cadres dirigeants du Crédit Agricole Centre France. C’est aussi l’opportunité pour la Caisse Caldagués de présenter son activité de l'année, ses résultats comptables, ainsi que les projets qu'elle soutient. Chaque année la caisse locale choisit un intervenant pour traite d'un sujet en prise directe avec l’actualité.Le Parc Naturel Régional Aubrac clôturera cette Assemblée générale. En 2019 le conseil d’administration a souhaité donner un coup de projecteur sur le tout jeune PNR Aubrac afin de réagir aux multiples questions que le grand public peut se poser. Qu’est ce qu’un parc Naturel ? Comment cela fonctionne ? Quels sont ses attributions et champs d’intervention ? Concrètement qu’est ce qui me concerne? Qui dirige ? Quels sont les interlocuteurs ? En bref qui fait quoi ? Tout autant d’interrogations auxquelles le directeur du Parc répondra apportant les éclaircis

Les filles du hand depuis quelques semaines ne parviennent pas briser le mauvais sort. Elle subissent, défaite après infortune, les affres de matchs infructueux. Que ce soit à l’extérieur ou à la maison, rien n’y fait. Reconnaissons à leur décharge que rarement le groupe majeur participe au complet. Entre l’infirmerie et les obligations professionnelles ou familiales la malchance s’acharne. Ce samedi, elles recevaient leurs homologues de l’entente Naucelles-Reilhac-Jussac (NRJ) déjà rencontrées par ailleurs en cours de saison. Mais l’effectif parvenait à peine à trouver le nombre minimal de joueuses. Elles entraient sur le parquet sans remplaçante. Leurs hôtes connaissaient les mêmes déboires. Dès le début de partie, les Caldagués s’emparaient du score et gardaient une avance d’un but ou deux jusqu’à la pause. Au retour, la victoire se dessinait et la série noire semblait conjurée. Mais le signe indien veillait. À 10 minutes de l’échéance elles pouvaient envisager dans le