LES BONHEURS DE PAULOCHON

    Le 18ᵉ Congrès du Comité Régional Auvergne des donneurs de sang bénévoles s'est tenu le samedi 15 mars 2025 au cinéma La Source, rue Saint-Julien à Chaudes-Aigues. Cet événement a regroupé une centaine d’adhérents de la région : Cantal, Allier Puy-de-Dôme et Haute-Loire pour s’entretenir des enjeux actuels et renforcer les liens au sein de la fédération des donneurs.​ Ce type de colloque reste essentiel pour mobiliser et conforter la communauté , en mettant en avant les valeurs de solidarité et d'engagement citoyen. Après la réception des participants avec café et collation à l’envi, les travaux de l’assemblée pouvaient commencer par le mot d’accueil de Valérie Auguy, la responsable de l’association caldagués. Albert Vinas, président de l’Union départementale du Cantal, lui succédait. Michel Brousse, premier magistrat, poursuivait par la description de la ville des Chaudes-Aigues . Chantal Maume, présidente régionale d’Auvergne, prenait la parole. Suivaient les interv...

Le 19 mars 1962 marque le cessez-le-feu entre la France et le Gouvernement Provisoire de la République algérienne , mettait fin à la guerre d'Algérie et désormais se célèbre comme une Journée nationale du souvenir pour honorer les victimes civiles et militaires ainsi que les combattants de ces conflits. Le 19 mars en est le jour anniversaire. Cette année 2025 Fridefont recevait les délégations cantonales pour cette journée nationale du souvenir et de recueillement à la mé moire des victimes civiles et militaires. Parents, amis épouses, veuves, élus assistaient à cette commémoration. La lecture du message de la ministre déléguée Patricia Mirallès rappelait notamment : «  Cette journée d’hommage, ils ont dû la demander, la revendiquer, la conquérir. Pour que dans une date s’incarne enfin le juste hommage de la Nation à cette génération qui a laissé une partie de sa jeunesse dans la poussière millénaire du sol algérien. Se souvenir, ce n’est pas seulement commémor...

Lise et sa boutique ont changé de rue, mais à peine. Du haut de la rue Notre-Dame d’août, elles sont descendues au Portail du four qui jouxte la susnommée. Vous les trouverez en face du casino. Elle est ouverte toute la semaine, selon les horaires d’hiver ou d’été. En haut, elle était locataire. En bas, voici son magasin, qu’elle a aménagé avec son mari. Le commerce s’étend sur toute la profondeur. C’est un espace vaste et clair. L’air fragrant de bouquets, de senteurs agréables incite à la quiétude. Sur le mur, vous verrez un tableau, évoquant l’ancien emploi de la propriétaire. Dès l’entrée vous êtes ailleurs dans un autre univers , à la décoration subtile, réfléchie. Les marchandises sur les rayonnages participent à l’ambiance. Elle propose des articles de la naissance au deuil . Outre les végétaux vous trouverez également des idées cadeaux pour votre satisfaction ou celle de votre famille, vaisselle pour le premier âge, peluches, savon, parfum et fleurs artificielles . Chaque ...

  Pour vous renseigner

  Cet immeuble imposant, avenue du docteur Mallet, un héros de la résistance locale, dont la « légende » dit qu’il serait la gare construite en vue de l’arrivée du chemin de fer en Caldaguès. Sauf que s’il existait bien un projet de ligne ferroviaire entre Saint-Flour et Espalion. La station de Chaudes-Aigues se serait trouvée implantée sur la colline de Radoundet, bien loin de la supposée gare. Pour diverses raisons, notamment de rentabilité, le service d’études de la voie ferrée fut supprimé le premier janvier 1933 et le projet mis au rebut. Le bâtiment a changé de propriétaire voilà deux ans. Il a été racheté par deux jeunes nordistes, Delphine Barbry et Jason Colpaert, dans lequel ils souhaitent installer leur projet de vie Caldaguès. L’accueil est chaleureux et le sourire de mise. Après son bac, elle emprunte la voie d’un diplôme des métiers d’art, section céramique. Elle crée son atelier en 2010. Elle passe huit ans dans une structure associative, un tie...

Disons-le tout de suite, le martagon est un lys aubracien, violet, protégé, une rareté, d’une beauté absolue. Le pluriel de ce mot s’applique à merveille pour l’ensemble de la troupe éponyme. Seize acteurs se défoulaient sur la scène de la salle Beauredon avec une soixantaine de spectateurs. Rien que le synopsis dispensait le ton, motivait non seulement les fans du groupe, mais également ceux qui ne le connaissaient pas. « Miracle au couvent de Sainte-Marie-Jeanne » se donnait ce soir-là. À la boutique du prieuré, dont les ventes financent les bonnes œuvres des sœurs, le célèbre élixir de Sainte-Marie-Jeanne aux nombreuses vertus ne fait plus recette. Une nonne suggère l’idée d’ajouter une herbe mystérieuse à la préparation. Le succès du nouveau stimulant de Marie-Jeanne s’avère « stupéfiant », dans tous les sens du terme. Certes, mais les ennuis commencent à pleuvoir. Tout à l’abbaye devient vaudevillesque et addict à la boisson de substitution. Mais le Crédit mutualiste, lui, ap...