LES BONHEURS DE PAULOCHON

  Auvergne Thermale a lancé une web-série intitulée « Buée & Claquettes » en partenariat avec le média En Vrai Auvergne et animée par la journaliste Fanny Agostini. L’idée est de valoriser le potentiel des Thermes en matière de santé et de bien-être dans un film dynamique de 4 minutes environ, qui met également en avant le cadre de soins. Chaque établissement thermal du réseau dispose de son propre film, avec un déroulé similaire : entretien de l’animatrice avec le directeur Luc Thiebault pour présenter l’offre thermale Caldagués et découverte d’un soin emblématique de la station, en compagnie d’un médecin ou d’un agent de soins. Un minimum de 100 000 vues est escompté pour chaque film. Le 6ème épisode consacré à Chaudes-Aigues peut se voir en cliquant sur le lien suivant :  https://www.youtube.com/watch?v=1Zy9D5e5O2M&t=1s N’hésitez pas à partager si cet épisode vous plaît. Sur Facebook, le film est disponible est ici :  https://www.facebook.com/watch?v=7662626249574

Depuis qu’il se parle de cette grue pour les travaux de Caleden, les rumeurs vont bon train. En décembre, un officiel affirmait à qui voulait l’entendre « l’engin arrivera début janvier ». Le Nouvel An passait, mais point d’outil. Alors une date en amenait une autre. Cette absence de l’appareil de levage poussait les Cassandre à prêter le flanc à des insinuations douteuses. Au moment des vœux, elle s’avérait imminente. La venue de l’équipe chargée de préparer le chantier et de commencer la démolition devenait un marqueur. Mais là encore point de dispositif. Quelques-uns pariaient sur l’interruption des travaux. La date du 26 avril s’affirmait effective. Mais rien ne le laissait présager : pas de signalisation ou d’arrêtés idoines aux alentours ou sur les lieux. Et ce mercredi vers 10 heures, un convoi de trois camions paraissait avec ce qui s’apparente à une grue imposante. Entre les trois véhicules, la circulation d’autres poids lourds, celle des automobiles, les engins sur un po

  Souvenez vous  de notre précédent compte rendu où les résultats de nos amateurs de cochonnets locaux n’avaient pas témoigné d’ une grande compétitivité dans les premières étapes du championnat du Cantal. Le Président a tenu à montrer l’exemple. Jugez-en plutôt. Mercredi dernier se déroulait à Massiac les qualificatifs départementaux de vétérans. Cinq triplettes thermales voyageaient avec pour capitaine : Yolande Galvier, Évelyne Bonnal, Pierre Auguy Christian Landré et Bernard Gémarin. Ce trio empochera sa place pour les phases suivantes à Champs sur Trentaine. Pour cette épreuve la poule de Chaudes-Aigues gagnait aux dépens de Saignes, Lugarde. En huitième de finale, les Chaudesaiguois affrontaient les Sanflorains tenant du titre 2022. Après une heure quarante de jeu, les Caldaguès s’inclinaient de peu, un seul point. Cette défaite s’avérait plus qu’honorable par 12 à 13. Le président remerciait Bernard Gémarin pour sa première vraie compétition officielle. La triplette comportait

  La réalisatrice, actuellement en cure, sera présente à la projection...

Depuis quelques années la médiathèque accueille une grainothèque, une initiative des enfants de l’école primaire Caldaguès. Les graines de toutes plantes côtoient les livres : « nourritures terrestres et spirituelles mêlées ». Elle se présente sous la forme d’une petite table au bord d’une fenêtre sur le palier de la salle d’exposition sur laquelle trônent quelques casiers remplis d’enveloppes, pleines de semences. Les visiteurs, abonnés ou non, assidus ou pas, peuvent déposer et troquer directement des graines de fleurs, de fruits, de légumes. La grainothèque attire de nombreux curieux et affirme le partage et l’échange. Si certains, ne possèdent rien à laisser, rien de grave. Ils peuvent se servir mais prendre dans le même temps l’engagement de revenir avec d’autres graines. L’inclusion d’une grainothèque dans une bibliothèque publique se justifie pour donner un accès libre et gratuit au patrimoine horticole, améliorer la biodiversité, transmettre les savoir-faire. Elle diff

Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, Chaudes-Aigues demeure dans un état pitoyable et doit se moderniser pour devenir une station thermale. Sous la houlette de son maire, Jean Julien, Chaudes-Aigues va s’efforcer de négocier au mieux ce virage difficile en parant au plus pressé. L’office de tourisme de l’époque y contribuera pour une large part. L’Amicale de Paris, conduite par Émile Ruc le soutiendra financièrement. En 1946, elle envoie 80 000 francs au président du syndicat d’initiatives et 20 000 francs au Comité des fêtes. L’année suivante, elle offre à la ville quarante plaques émaillées, qui tirent les voies de leur anonymat, et trente autres pour baliser les chemins d’excursions pédestres, dont il ne reste rien de ces dernières. Ces plaques se remarquent par la mention qu’elles portent « Don Amicale de Paris » toujours en place. Quelques dénominations nouvelles apparaissent : la rue Notre-Dame d’Août au lieu de rue marchande, le cours Bernard Clavières, disparu désorma