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Affichage des articles du novembre 1, 2020

Quel est cet oiseau ?

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Ne cherchez pas où j’ai photographié cet oiseau. Là ne se situe pas le problème. Éliminons les oies blanches : j’en sais quelques-unes. Elles ne ressemblent en rien à cela. Vous allez me rétorquer pourquoi tu prends en photo des bestioles que tu ne connais pas ? Par simple curiosité et mon bon plaisir d’attendre dans le froid que le volatile se pose à portée d’objectif pour lui tirer le portrait. Je sais, je ne dois vraiment avoir rien à faire pour occuper mon temps là. Si vous connaissiez le prix de ce cliché, vous trouveriez que l’oisiveté peut rapporter gros. Je galèje, enfin presque… Vous ne devriez pas croire tout ce que l’on vous dit. Tout ceci ne me donne pas le nom de l’oiseau. Alors ?

Relais petite enfance

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    Pour les seules professionnelles

Covid ou pas toujours là

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  N'hésitez pas à prendre rendez-vous ou vous renseigner au 04 71 23 92 33

Un champion du monde de golf à Chaudes-Aigues !

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  Dernièrement, avant le confinement, les greens de La Valette à Chaudes-Aigues accueillait monsieur Patrick Cros ancien professionnel de golf. En 1966, il devient champion du monde de la discipline par équipe avec la France. Dans les années 1960, il détient le titre d’espoir n° 1 français ? Il termine 6e à l’open d’Australie. Son niveau de l’époque lui permet d’affronter ou partager des parties avec des joueurs tels que Severiano Ballesteros, Jack Nicklaus pour les plus connus, et bien d’autres. Actuellement, il préside aux destinées de l’entreprise Golf ParisLongchamp , sa passion ne l’a jamais quitté, il œuvre encore dans l’enseignement de ce sport. Très investi, il trace ou prépare plusieurs circuits en France et à l’étranger. Lors de son séjour dans la cité thermale, il est venu découvrir le parcours de Chaudes-Aigues, à La Valette, affilié à la fédération française. Les licenciés et abonnés pouvaient profiter d’une leçon de golf haut de gamme. Monsieur Cros prenait plaisir à

Que sont devenus les balais en bouleau ?

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Après les feuilles qui ne se ramassent plus à la pelle voilà que les balais devraient disparaître. Tout au long des hivers où les frimas n’autorisaient pas de mettre un cantonnier municipal dehors. Il employait parfois son temps à «  chapuiser  » des branches de bétulacées avec ses collègues réunis en cercle devant un tas de ramées pour fabriquer suffisamment de balais pour la belle saison. Laguiole ou Opinel, chacun en fonction de ses affinités taillait le bois et assemblait des fagots . En fait tout ceci relevait de l' art, non seulement pour monter ces outils mais pour également s’en servir. La largeur de travail variait selon la pression exercée et la souplesse des branches utilisées. Leurs dimensions permettaient une bonne prise en main, apportaient un usage ergonomique. De fabrication maison, ces accessoires se montraient économiques en investissement pour toutes les activités de nettoyage. Puis les «  machins en plastique » sont arrivés et poussaient vers l’oub

L’accueil de loisirs sans hébergement se porte bien

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  L’Alsh caldagués n’a fonctionné que la deuxième semaine des congés de Toussaint. L’ALSH est une structure de loisirs qui suggère des activités pour les enfants scolarisés et les adolescents. Cela permet aux parents de concilier vie professionnelle et de famille. Depuis le début de l’année 2020, malgré la COVID, les effectifs gonflent, retrouvent des couleurs, après avoir subi un fléchissement démographique. En moyenne 17 gamins participent depuis la reprise, au gré des envies ou des obligations maternelles. Laurie Chaudesaigues dirige la structure assistée de deux personnes. Les occupations de cette période ne déplaisaient en rien aux enfants. Ils passaient une matinée à la bibliothèque à consulter quelques bandes dessinées ou des albums d’histoires fantastiques dans un environnement culturel. Cette semaine magnifiait Halloween : la chasse aux araignées, fantômes, démons . Cela générait des activités manuelles et créatives, des intermèdes sportifs, de la lecture et des jeux,

Serge Vieira s’adapte au confinement

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Serge Vieira ferme ses établissements, mais souhaite continuer de régaler «    la clientèle locale, nous proposons un menu et des plats à emporter pour vous mettre les pieds sous la table ! » Entrées, plats et desserts au choix composent une f o rmule à 30 € à commander par téléphone au 04 71 20 73 85 ou directement sur place au restaurant Sodade. Possibilité de livraison à Saint-Flour et Aurillac pour un minimum d’achat de 50 €. Il vous propose également des paniers de légumes...des yaourts et fromages fermiers à prix coûtant. Vous pouvez aussi retrouver une sélection de produits traiteurs tels que des bocaux de cèpes à l’huile et aux aromates, des champignons au vinaigre, des rillettes , de la truite gravlax, des pickles de plantes potagères, des préparations pour les soupes, voilà pour le salé. Pour le sucré, confitures maisons, biscuit viennois en sachet le disputent aux cakes, madeleines au citron, marbrés ou cookies chocolat au lait et noix de coco… En attendant la mise e