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Affichage des articles du juillet 17, 2022

L’amitié en Caldaguès un club qui marche...bien

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  Seize membres de l’amitié en Caldaguès participaient à une sortie en direction de la Margeride Lozérienne. Jean-Michel et Martine André servaient de guides au groupe, puisque originaires de la région. Première halte sur le truc de Fortunio le point culminant de la Margeride domine avec son antenne relais. Demeure un poste d’observation de premier choix avec ce matin-là 15° seulement sous vent du Nord. Le parcours visuel, l’ivresse du panorama ouvraient l’appétit devant une excellente table à Rieutort-de-Randon qui permettra d’envisager sereinement un tour du lac. Une retenue artificielle se créait entre les deux guerres pour les besoins de l’armée en vue d’y submerger des surplus de munitions. C e qu i explique la construction en 1923 d’une ligne de chemin de fer pour acheminer les matériaux nécessaires à la réalisation du barrage, mais le projet n’aboutira pas. Aujourd’hui, il sert de réserve d’eau potable pour la préfecture lozérienne. L’étendue aqueuse est aussi connue pour sa

L’éléphant de Mireille Nègre.

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Lorsque vous entrerez dans la salle d’exposition de la médiathèque Saint-Jacques vous trouverez ce texte «  Voici la jolie histoire de l’éléphant. C’est le premier tableau que j’ai dessiné pendant mon tout premier cours de peinture. Sandrine, notre professeur, nous a proposé de réaliser cet éléphant… J’ai pensé : elle est folle ! Ça en deux heures ! Impossible…  » et puis sont venues les explications de Sandrine, simples et claires. «  Au final, nous avons tous exécuté notre pachyderme en deux heures » . Depuis quelques années les cimaises de la bibliothèque s’ouvrent à des artistes locaux exclusivement. Des talents existent dans le pays, ils doivent être mis en lumière pour ce qu’ils créent. La plupart du temps ils fréquentent l’atelier d’Intergénération. En 2022 c’est au tour à Mireille Nègre de devenir l’invitée d’honneur. Peintre tout terrain, elle possède une assurance dans son dessin et ses choix. Rien ne l’arrête à partir du moment où elle sélectionne un propos. Ses toiles

Laissez-vous porter par le conte.

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Lundis 25 juillet et 8 août 20h30 rendez-vous au parc thermal du Moulin Juéry à Chaudes-Aigues qui un matin de mars fut réduit en cendres sans jamais bien comprendre ce qui s’était passé. Son implantation correspond aux bâtiments, dépendances, cours et jardins de l’ancienne propriété Juéry, détruits en 1956 par un incendie. Aménagé le clos, ses interstices adaptés à la topographie du terrain s’appuient sur les vestiges. L’emprise de la meunerie reste lisible et la façade conservée sur la hauteur demeurent présentes. Compte tenu de leur intérêt historique et pédagogique, le projet repose sur la revalorisation de cet ensemble d’éboulis. Depuis cet espace vous partirez par ruelles et venelles visiter presque nuitamment la cité des eaux chaudes. Laurent Occelli, deviendra votre guide, compagnon de route et conteur le temps d’une balade. Il vous dira, des légendes fabuleuses et des mythes fantastiques, des sorcières, dragons, feux-follets, diables, farfadets et fades ...des insta

Ne vous faites pas prier

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 Participez ce vendredi

L’aigle et le coq de Julien Perrier envahissent Anterrieux

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  Dans le cadre de la biennale d’art contemporain « Chemin d’art » organisée par Saint-Flour Communauté, reçoit Julien Perrier. Il met son calot, empoigne son porte-voix et les mots qui prêtent à sourire et rire. Sorte de zébulon, l’homme ne se prend pas au sérieux. Nous allons effectuer le parcours de son agencement en commençant par l’entrée du hameau où un coq et un aigle accueillent le visiteur. Au mois d’avril, Julien Perrier, sculpteur installé près d’Angers, a rencontré Marcel Chastang, maire d’Anterrieux. C’est au sein du Musée de la Résistance, qui retrace les événements survenus localement pendant l’été 1944, que le modeleur a démarré son rendez-vous. Accompagné par Marcel Chastang, il s’est ensuite immergé dans l’ordinaire du village, depuis la grange de l’édile à l’église en passant par les édifices mémoriaux, ou encore à la découverte d’espaces du quotidien. Sa pratique s’inspire d’anecdotes et de la «  Grande Histoire  ». Anterrieux représente donc pour lui un terrai

La piscine municipale joue les prolongations.

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Mercredi 20 juillet vous allez pouvoir «  faire trempette » plus longtemps dans votre bassin favori. Ouverture exceptionnelle 10 heures - 13 heures et 15 heures - 21 heures Profitez en ! Sans augmentation du prix d’entrée.

La dernière séance à l’école de tennis.

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Le tennis club Caldaguès depuis sa renaissance poursuit sans bruit ni rumeurs son bonhomme de chemin et privilégie pour le moment les jeunes pousses par le truchement de son école qui partait en vacances, ce 2 juillet, . Tout ce beau petit monde rentrait en septembre dernier avec des rendez-vous hebdomadaires. Disons-le tout de suite, les séances se déroulaient dans une ambiance festive, invitaient à l’assiduité. Olivier, Nicolas et Philippe appréciés des enfants ont su insuffler cette passion qui les anime aux gamins. Le samedi en deux groupes, ils se retrouvaient au gymnase de l’enclos. Nicolas tout au long des mois a inoculé le goût du tennis une fois par semaine aux sessions d’apprentissage. Le seul projet c’est de revenir rapidement sur le cours poursuivre. Toujours dans l’objectif d'une pratique permanente de la discipline en cité Caldaguès, aux congés de février et fin avril dernier, un stage s'organisait à destination des jeunes et adultes pour compléter l' offre

Un four à la Malvieille de Deux-Verges

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A l’époque féodale, le four banal était une possession du seigneur qu’il mettait à disposition de l’ensemble de la population moyennant une taxe appelée « le ban ». Les habitants étaient dans l’obligation d’utiliser le four et ne pouvaient en construire un autre. Nombre de mairies redonnent du lustre à ceux de leur localité. Deux-Verges n’échappe pas à la règle. Ce dimanche à l’heure apéritive, les résidents se retrouvaient devant la bâtisse rénovée de La Malvieille pour en inaugurer la restauration. L'édifice appartenait à la section de La Malevieille dont l'engagement des travaux passait par la communalisation afin que la municipalité puisse le réhabiliter. Dans son propos, Pascal Poudevigne, le maire, remerciait les artisans présents : Xavier Garrel, Aubrac Tp, l’entreprise Chayla, les maçons de l’Aubrac. L’opération se monte à 27 000 € hors taxes financée pour partie par le fonds Cantal solidarité du département et par Saint-Flour communauté à travers le fonds inte