LES BONHEURS DE PAULOCHON

  « Faire les Beaux-arts » , une expression qui fait encore rêver ! Les écoles des Beaux-arts sont accessibles aux étudiants les plus motivés et passionnés, qui souhaitent lancer ou ont déjà entamé une démarche artistique . Zoé passe actuellement quelques semaines en stage chez Fabienne Blas. Elle apprend l’art du masque pour étayer sa Licence de fin d’année qui devrait clore 3 ans d’enseignement. Zoé Antier convient qu’elle ne pourra pas vivre uniquement de son métier de plasticienne et désire en complément devenir cordiste, une discipline loin de l’art contemporain quoi que !!! Cette spécificité qu’elle pratique sera bien utile pour l’installation des décors de théâtre ou de festivals. Elle exerce aussi la linogravure et photos argentiques «  de gens déguisés dans des manifestations et autres occasions cela fait sens avec Fabienne. J’essaie un tas de choses, toutes ces expériences sont passionnantes ! ». Mais pour l’heure au pays des eaux chaudes elle tente la fabrication de masqu

Lucie Bartoli née à Marseille le 9 mars 1935, 88 ans, revient sur les deux années qu’elle a passées, pendant la Deuxième Guerre mondiale, à Anterrieux il y a 80 ans. Le 9 mars 2023, elle fêtait son 88e anniversaire. Son fils et sa compagne l’ont véhiculée pour le voyage depuis Marseille où elle habite toujours. Cet après-midi-là, elle raconte une partie de son histoire aux bénévoles les plus assidus du musée de la résistance. Elle parle de ses souvenirs, de ses pieds « gelés », durant le premier hiver, les crevasses de ses lèvres, son anémie. « Je pesais 18 kilogrammes . Lait, beurre, crème et fromage plus le grand air, le pain cuit au four banal, une nourriture saine m’ont revigorée. Je ne suis pas difficile, j’aime tout, je mangeais de tout. Je me suis remplumée en quelques mois. Les gerçures ont disparu, mes pieds ont réapparu normaux, un miracle et depuis je n’ai jamais rechuté, j’ai guéri ici. » Et sa maman restée à Marseille, «  je me suis habituée à la situation » . Parfoi

Vous ne le savez peut-être pas, mais les tennismen ne jouent pas tous avec les mêmes balles. En fonction de l’âge et du niveau, la balle la plus appropriée pour progresser ne s’avère pas toujours la même. Environ 6 types différents existent. Après les violettes, dans la formation, se trouvent les rouges, utilisées pour les enfants à partir de 6 ans. Celles-ci ont tout de même une taille un peu plus grosse que les dures. Elles demeurent également bien plus souples. Optiquement, elles sont composées de deux couleurs (le rouge et le jaune). Cela permet de bien les visualiser. Ce premier avril, certains sportifs de la cité thermale se rendaient à Saint-Flour. Ils y disputaient des matchs amicaux, dans le cadre du plateau de balles rouges organisé par le club de tennis de Sanflorain sous la férule de sa présidente, Madame Elise Teil. Les jeunes Caldaguès : Mathis, Loris, Tom, Maël et Lucas se défendaient mieux que bien et surtout s’amusaient à satiété. Loris Boussuge de Chaudes-Aigu

 Une maison à votre service

    Marc Antoine Kieffer, notre Caldaguès, après avoir quitté Chaudes-Aigues travaillait en milieu hospitalier au Puy-en-Velay quand il a rencontré son épouse Émilie, originaire de Dordogne. Elle se trouvait à l’École Nationale Supérieure de Pâtisserie Ducasse à Yssengeaux. Un jour elle apprend qu‘une affaire se vend à Périgueux. Ils en parlent, elle le convainc de s’embarquer avec elle. Leur ligne de vie commune se définit. À Périgueux, Émilie et Marc-Antoine changent d’habitudes. Ils se répartissent les tâches, elle à la fabrication, lui à la commercialisation. Le couple ouvre une première adresse sur les boulevards, en 2018. Puis crée un nouveau lieu à la décoration magnifique sur la place de l’ancienne mairie en 2021. Quelques années plus tard l’émission de télévision « La Meilleure Boulangerie de France », les sélectionne. La machine s’emballe. «  C’est pour nous une opportunité, la reconnaissance de notre travail ». Affirme Marc Antoine, étonné . Leurs deux commerces, emploien

  de ce 4 avril Copyright La Montagne

Né à Saint-Rémy de Chaudes-Aigues, 1 er d’une fratrie de 3 enfants. «  J’avais 3 ans lorsque mon père Étienne Gendre devient maire de cette commune au sortir de la seconde guerre mondiale, en 1945 ,et le restera durant 50 années jusqu’en 1995. Suivant l’exemple de son père et modèle Vital Gendre participera à la v ie locale agricole et communale pendant un demi-siècle également. « À mon adolescence, je suis sollicité pour contribuer à un mouvement de jeunesse sur Saint-Flour. Je peux dire aujourd’hui que cette participation a posé le socle de mes futures responsabilités. » À l’heure du service militaire. Je suis incorporé à Bremgarten en Allemagne sur une base aérienne puis je rejoins l’Algérie pour une période de 2 ans qui par bonheur pour moi descendent à 18 mois. » Après ses études et ce séjour en Algérie, Vital Gendre s’installe, contraint et un peu forcé, agriculteur sur la commune de Saint-Rémy de Chaudes-Aigues et de Deux-Verges. De retour à la vie civile, j’effectue

  De plus en plus de Français s’occupent d’un proche tous les jours en perte d’autonomie ou en situation de faiblesse au quotidien porte un nom : aidant. Or, cette tâche demeure coûteuse en fatigue, disponibilité, et prendre un peu de temps pour soi n’est pas toujours facile. Pourtant des assistances existent, mais aussi des soutiens financiers, pour y contribuer… L’aidance actuellement concerne des millions de nos concitoyens qui accompagnent d’ordinaire un ascendant en condition de dépendance, en raison de son âge, d’une maladie ou d’un handicap. L’alter ego est la personne qui vient en appui, de manière régulière et fréquente, à titre non professionnel, pour accomplir tout ou partie des actes ou des exercices de la vie quotidienne. Les tâches effectuées pour un parent se montrent variées et parfois très lourdes : pratiquer des soins, faire sa toilette, les courses ou le ménage, organiser les rendez-vous médicaux, réaliser les démarches administratives… Les épauler, apporter des ré

  C'est dimanche prochain. Le lundi est férié, profitez en