LES BONHEURS DE PAULOCHON

Si les nourritures terrestres s’avèrent indispensables, elles doivent également obtenir le soutien des nourritures spirituelles. En ces temps de confinement prolongé, les deux espèces deviennent indissociables et doivent cohabiter. « Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade » affirmait Julien Green. Il pousse de la même façon les murs que vous vous plongiez dans un polar millénium ou un roman paysan, voire un San Antonio, à la truculence des années 1970. Sur votre téléviseur, vous pourrez apprécier parallèlement des films sur DVD tout autant à disposition. La médiathèque en cette période troublée œuvre toujours pour la Culture en tenant compte de la vôtre. Véronique s’est transformée en commissionnaire des connaissances. Elle distribue de porte en boite aux lettres ou rebord de fenêtre tous les supports. La bibliothèque avant de rouvrir prochainement peut vous apporter quelques heures de dépaysement voire de divertissement. Attention ses locaux restent interdits au public

En rose, pas mal non plus !

Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, son cœur pur, son corps léger comme un vêtement d’été. Il n’emporte point de provisions. Il boira l’air frais en route et reniflera les odeurs salubres. Il prend ses armes : pinceaux, chevalet, boite à couleurs et se contente d’ouvrir les yeux. Les yeux servent de filets où les images s’emprisonnent elles-mêmes sur le papier. Enfin rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement avant de s’endormir, il se plaît à compter ses images. Le lendemain, dociles elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d’elles en éveille une autre et sans cesse la troupe s’accroît de nouvelles venues. C’est Jules Renard qui dresse ce portrait du chasseur d’images. Dans son dernier ouvrage, mes secrets de nature , Daniel correspond à la description de Jules. L’un avec l’autre se complètent. Le livre se consulte, s’apprécie comme un apprentissage de l’environnement que le système contemporain et faussement indu

Le calendrier, par les temps qui courent, des animations d’Intergénération vient de prendre plusieurs annulations. Le voyage en Bretagne début juin est remis sine die tout comme que le week-end au mont Aigoual de fin du même mois. L’aquagym avec la fermeture de Caleden attendra sa réouverture. La sortie au Pal prévue le 25 juillet reste pour l’instant inscrite. Ainsi que la visite de l’exposition Nicolas de Staël le 5 septembre à Brioude. Le 10 octobre pour leur soirée dansante à Beauredon se maintient. Dimanche 18 octobre le déjeuner spectacle au cabaret l’élégance à Renaison demeure d’actualité de même que l’escapade du 25 octobre à Vichy pour déguster un canard à l’orange . Et enfin la présidente a promis : « Afin de nous rattraper dès que nous obtiendrons l’autorisation et en sécurité, nous organiserons notre repas de retrouvailles ». Il y a plus malheureux affirment avec philosophie les adhérents. .

La réparation des fuites reste l’une des principales actions à mener pour améliorer le rendement du réseau d’eau potable. La télégestion de l’adduction d’eau potable est devenue incontournable en permettant à l’exploitant de la ressource, la régie municipale, d’exercer un contrôle continu et une gestion à distance. Elle contribue à la bonne qualité de l’eau distribuée au robinet ainsi qu’à la pérennité de son approvisionnement. Les ressources doivent être préservées et les pertes limitées à tout prix, tout en satisfaisant aux besoins croissants  de la population. La réalisation d’économies est également à prendre en compte elle passe par la recherche permanente des fuites afin de  diminuer les volumes non facturés .  La sectorisation des conduites  avec l’appui de la télégestion dont vient de se doter la commune de Chaudes-Aigues apporte une réponse efficace. Le procédé a en partie vocation à résoudre les problématiques, en rendant plus simple la détection des anomalies s

Écoutez simplement en cliquant sur le lien ci dessous https://www.youtube.com/watch?v=olffaiVAkBs

Leur engagement professionnel ne faiblit pas. Patricia Fayon et Maryline Fourestier, coronavirus ou pas, restent mobilisées auprès de leurs patients qu’elles visitent quotidiennement . Le SSIAD (service de soins infirmiers à domicile) participe à domicile pour prodiguer des soins aux personnes âgées ou handicapées. Il contribue au maintien de celles-ci en leur demeure. Maryline précise « Nous agissons en résidence pour des traitements à l’individu, lui conserver son autonomie.   Bien évidemment, nous sommes concernées par le coronavirus. Nous sommes équipées, chez les patients, tenue blanche pas avec les habits de ville, surblouse, masque... et nous désinfectons nos chaussures. Nous ne manipulons pas le malade qui bénéficie d’appareils adaptés pour le verticaliser ou le déplacer . » Elles interagissent auprès des ayants droit au quotidien, samedi dimanche et fêtes comprises. Leur journée débute à 6 h 45 jusqu’à 12 h 30 et en soirée de 17 h 15 à 19 heures. Attachées à l’Ehpad Sa

C’est ce que vous trouverez en quatrième de couverture du Dictionnaire passionné et impertinent du Cantal . Tout passe au filtre de Pierre Moulier. Outre le filtre c’est à la moulinette que l’auteur tamise le département. Juste pour le plaisir allons voir quelques entrées prises au hasard. Enfin mon hasard , vous aviez compris. Saint-Flour. Ville étrange . Pour les bovins la vache est le meilleur ami du Cantalien. Vieux. Ils sont inévitablement l’avenir du pays. Je vous laisse lire la suite. Il y a des manques : vous n’y trouverez pas Chaudes-Aigues la seule station thermale du Cantal. Quand même. Télévision. On néglige l’impact de la lucarne magique sur le monde rural . Optimisme . Dans le Cantal il est bien vu d’être optimiste. En vérité, l’optimisme est une valeur de politicien. Il vous entretiendra par ailleurs des romans de terroir qu’il adore. Presse locale. Elle était pléthorique jadis, elle est aujourd’hui réduite à quelques titres ayant du mal à lutter contre le nu