LES BONHEURS DE PAULOCHON

  La manécanterie sanfloraine incitait le mélomane à participer à la soirée de mercredi dernier en l’église Saint-Blaise Saint-Martin avec un programme diversifié et singulier où l’on retrouvera Queen et Ola Gjeilo agrémenté de quelques bandes musicales de films. 98 personnes assistaient à ce concert de solstice ou quasiment. Santalou que le répertoire plaise ou mécontente, le groupe donne toujours le meilleur de lui-même sans déroger en quoi que ce soit. Ola Gjeilo détenait la première partie du récital. Cet auteur suédois vit et travaille aux États-Unis . Il contribue au renouveau de la musique chorale sacrée au même titre que l'Estonien Arvo Pärt. Ses compositions s’inscrivent au programme des maîtrises professionnelles ou d’amateurs d'un solide niveau aux États-Unis et en Europe depuis quelques années. Santalou offre toujours des concerts de haute tenue, quels que soient les titres ou leurs créateurs, dans quelque lieu que ce soit, l’ampleur de l’ensemble vocal emport

Dans le cadre d’un projet mené au cours de cette année scolaire intitulé « Notre école, faisons-la ensemble », Louis Pasteur nouait des relations avec les trois établissements primaires voisins : Chaudes-Aigues, Saint-Urcize et Neuvéglise. Cette démarche de concertation inédite consistait à élaborer en commun des programmes didactiques innovants. Lesquels répondent aux besoins locaux et de nature à améliorer le niveau des élèves, accentuer leur bien-être et lutter contre les inégalités. Dans ce véritable atelier s’édifient la citoyenneté et la société de demain. Ce jeudi par un temps plus que favorable à cet exercice, les apprentis vidéastes appliquaient les leçons de cette année particulière «  à faire du cinéma  ». Après une initiation à l’écriture et aux techniques filmiques depuis la rédaction du scénario, le découpage, ils s’investissaient sur le tournage des courts métrages. Cette rencontre en plein air au Couffour tire la conclusion de l’opération : «  Je fais mon cinéma  ». L

  Encore une fois, la salle Beauredon se remplissait jusqu’au fond. C’était la fête de l’école, un incontournable, bien à l’abri de l’orage qui chargeait les pluviomètres de 30 millimètres en deux heures. Le parking, terminé la veille, recevait, sur toute sa nouvelle surface, les premiers véhicules. Le propos du spectacle mettait en exergue les quatre éléments.Ils constituaient le thème de travail pour cette année qu'ne exposition complète actuellement à la médiathèque. Chansons et chorégraphies rythmaient la soirée des chariots de feu en passant par: la maison citrouille, le pouvoir des fleurs, c’est ma terre . Le souffle du vent, c’est de l’eau, chantons sous la pluie, se posaient en adéquation avec les intempéries extérieures . Tout ceci se terminera par un·e flash mob sur «  portons la flamme » en référence aux Jeux olympiques. Tous les acteurs et enseignants danseront sur un point final rempli d’optimisme. N’omettons pas ce moment de cinéma avec les deux courts métrages, les

  C'est samedi prochain le 6