LES BONHEURS DE PAULOCHON

Aujourd’hui, les organisateurs vous donnent rendez-vous ce samedi 10 juin pour retrouver les quatre épreuves, plus une à destination des 6-13 ans, qui vous entraîneront des gorges de la Truyére, désormais labellisés, sur l’Aubrac. C’est toujours un peu pareil, mais jamais la même chose d’une édition l’autre. Les itinéraires populaires majeurs restent ces deux randonnées de la Randaubrac avec ses 2 distances de 15 km et 25 km . Chacun selon sa forme, ses envies et possibilités « trekkera » depuis Chaudes-Aigues, par la vallée du Remontalou bordée par le chemin de la mine, le Puy de la tuile jusqu’à Saint-Urcize. Les plus hardis s’inscriront sur le raid nature multisports. Ils engloutiront trois kilomètres en canoë, 6 en trail et 40 en VTT, par équipe de deux. Limité à 90. Plus évident et accessible, dégustez quarante kilomètres en VTT ou VAE, vélo à assistance électrique, sans le jugement du chronomètre ouvert à tous. Dénivelé positif de 900 mètres . Venez avec votre monture. Le mor

  Voilà dix ans, en avril 2013 s’ouvrait à l’Ehpad Caldaguès Sainte-Elisabeth, une unité Alzheimer au sein de l’établissement. Une sympathique fête d’anniversaire se déroulait dans les locaux. Madame Martres, directrice de la maison revenait sur la décennie de fonctionnement. Elle rappelait dans un premier temps quelques chiffres à valeur statistique. «  Nous possédons 14 lits, 12 pour les troubles cognitifs et 2 pour un accueil temporaire . Nous avons admis 52 malades parmi lesquels on dénombrait 60 % de femmes et 40 % d’hommes . L' âge moyen d'entrée ici se situe à 83 ans. » Elle soulignait : «  l’excellent travail fourni par le personnel 3 aides-soignantes : Agnès Chassang, présente depuis le début, Jessica Loussert, Évelyne Pelat et 3 agents des services hospitaliers, Sandrine Millas, Corinne Pruniére et Véronique Vic. Elles se dévouent avec beaucoup d’humanitude pour la sécurité et le bien-être des résidents. Je n’oublie pas les employés de l’Ehpad qui interviennent pon

  C’est l’histoire simple d’un sale gosse qui passe deux mois chez sa grand-mère. Il arrive de la ville à la campagne et là un choc culturel. Au début, le gamin se montre infernal avec sa mammy sourde, lente, et surtout très pauvre. Deux deux mondes dissemblables. Puis peu à peu, il commence à comprendre, à accepter et à aimer cette femme si différente de lui. Sans jamais atteindre la niaiserie, le film réussit à faire jongler entre rire et larmes. C’est un récit simple, du quotidien, très touchant. Cette production universelle, pour tous les âges, drôle, tendre et cruelle parfois provoque beaucoup d’émois. Le rythme lent au service de l’histoire a besoin de temps. Les dialogues précis et rares n’empêchent pas une communication sans eux. Cette pépite coréenne émouvante parle du choc des générations. É cole et cinéma propose aux enseignants des classes primaires et maternelles de s’engager dans un parcours pédagogique et de bon goût autour du 7e art. Ce dispositif national a pour

Photo: Daniel Brugés Dorénavant les aficionados de course de pleine nature prendront, au propre comme au figuré, leurs pieds à deux occasions à quelques semaines d’intervalle, sur le secteur. Tout commencera le 7 mai dans les gorges de la Truyére désormais labellisées et suivra le 10 juin sur le territoire de l’Aubrac à partir des eaux chaudes Caldaguès. Le concept sourd de deux associations : «  Trails de la Truyère  » et «  Le Grand-Parcours  ». Elles ont concocté une épreuve sous le titre générique de « Truyère, tu m’aères » . Ce nouveau challenge consiste « à promouvoir par la découverte inédite d’environnements et espaces à identifier, investir et partager ». Rompus à l’élaboration de ce genre de rendez-vous, Marc Guibert et Gérard Chauvet se rencontraient récemment pour orchestrer ces galopades. Lesquels se dérouleront en deux périodes : le 7 mai pour les trails de la Truyère sur la commune de Neuvéglise-sur-Truyère, le 10 juin lors de l’inéluctable Grand Parcours, trentenai

      Avec la bourrée du Caldagués

  Organiser une manifestation en plein air, début avril relève de la gageure pour obtenir une température ensoleillée et maîtrisée. Ce fut le cas pour cette journée pascale en Caldaguès. Avec la concurrence de quelques autres amusements dans la région, il n’était pas écrit que la réussite irait de soi. Combien de personnes participaient ? C’est selon les instigateurs ou le service d’ordre que finalement chacun s’accordait sur «  Beaucoup de monde !  ». Comme notre compteur montrait quelques défaillances, nous ne pouvons définir un chiffre. Dès quinze heures, le convoi s’ébranlait pour un petit tour en ville avant de prendre le chemin de La Pradelle sans traîner. Tout ce beau monde s’égayait dans les genets sur un territoire de chasse d’une vingtaine d’hectares, une surface agrandie par rapport à la première édition. Du rubalise délimitait les parcelles. Les sportifs jouaient gagnants. Les décontractés trouvaient les précieuses cannettes sans empressement. Les promeneurs se baladaient