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Affichage des articles du juillet 21, 2024

Quintette en l’air pour un concert d’été.

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La petite église de Maurines accueillait dimanche soir un concert de cuivres, essentiellement quatre, plus une flûte. L’ambition affichée des instrumentistes consistait à parcourir le monde et la musique dans tous les pays, à tous les âges, tous les modes et tous les temps. L’ouverture s’effectuait par l’incontournable Te Deum de Marc Antoine Charpentier, après le propos de réception prononcé par madame Pierrette Beauregard, la maire. Le talent n’attend pas le nombre des années. Les cinq souffleurs, de 15 à 19 ans, tout au long de la soirée, le prouveront avec Bach, Dietrich Buxtehude, en passant par Bizet ou Samuel Barber. Ils touchaient au jazz de Glenn Miller et autres standards, aux tubes classiques de Vivaldi, Georges Bizet, et cetera. L ’adaptation de la petite fugue de Bach relève de l’exploit pour quatre garçons et une fille soit un tuba, un cor d’harmonie, une clarinette, un trombone et une flûte. Seules l’audace et la jeunesse osent transposer pour instrument à vent ces mo

Le Clac art contemporain fête ses 20 ans.

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  Point de bougies à souffler, mais un superbe album tout en couleur au modeste prix de 16 €. Cet ouvrage rétrospectif inventorie les installations passées par la chapelle des pénitents, le nid douillet des œuvres proposées tout au long de ces vingt années. En ces expositions originales, exceptionnelles se rencontraient les Lartigue, Humair et bien d’autres. Du 14 juillet au 15 août depuis 20 ans, le CLAC s’établit dans cet espace emblématique au droit du retable. Bien sûr, cette esthétique synchronique déplaît ou captive, horrifie ou délecte, mais ne laisse personne impassible à l’aune d’un Beaumarchais, « Aimez ou détestez, mais ne restez pas indifférent ». À l’instar de l’eau chaude, l’art contemporain procède pour partie de l’image du Caldaguès. Ils ne seraient pas loin de 100 000 à avoir traversé ce lieu depuis 20 ans. Peu importe leur nombre, le pari du CLAC se concrétise. De fait, les goûts et sensibilités évoluent. De grandes signatures ont posé leurs œuvres dans l’édifice, co

Tout un programme

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  Pour les jours à venir

Assemblée générale du Tennis Club

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L’assemblée générale du club de tennis aura lieu le lundi 29 juillet à 19 heures à l'enclos. L’ordre du jour évoquera: Le renouvellement du bureau Le retour de l'école de tennis Adolescents et adultes soyez les bienvenus pour un premier contact, voire plus.

Le nouveau visage de Beauredon

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  Il convient d'y ajouter 18 arbres

La source du Par dans un hors série de Télérama

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    Ce sont de petites histoires dans la grande qui se déroulent au Périgord de Cro-Magnon, le Carpentras des papes, le Rennes prérévolutionnaire, les Landes du Second Empire… Et qui, sans entrer forcément dans les manuels scolaires, ont forgé un peu de notre patrimoine humain et culturel. Les journalistes de l’hebdomadaire ont donc sillonné la France, du nord au Sud, par les campagnes et par les villes, pour remonter le temps jusqu’à la préhistoire ! Et vous raconte une trentaine de ces épisodes méconnus, étonnants, amusants parfois, de notre roman commun. Une sélection de musées et de visites s’y rapportent et prend place dans les dernières pages. Vous pourrez continuer, au fil de vos périples estivaux, de voyager à travers les époques. En ce qui concerne Chaudes-Aigues, il nous narre les belles heures du thermalisme dans le Cantal du XIe siècle. Chaudes-Aigues prospère grâce à l’activité hydrominérale. Aux sources fumantes du Par on se trempe et se soigne, jusqu’à ce que la peste bou

Le duo Boudon Fanguin expose à la médiathèque

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Véronique la bibliothécaire poursuit ses invitations du côté de l’atelier dessin d’intergénération. Les deux artistes peintres, Ginette Boudon et Annie Fanguin, ne possèdent aucune préférence huile, pastel et acrylique les satisfont en fonction bien évidemment du sujet traité. Elles reconnaissent y travailler des heures, debout ou assises, la passion ne se contient pas. Cela dure parfois plus que de mesure. Depuis l’unité d’Intergénèration, elles continuent d’apprendre et de progresser jusqu’aux soirées ou journées chez elles. Chacune détient son style aux différences patentes. Elles participent à de nombreuses expositions que ce soit à Neuvéglise ou Lieutadès, voire ailleurs ou ici en Caldaguès pour tout l’été, au passage important ou à la chapelle des pénitents. Elles apprécient évidemment de vendre un tableau par-ci par-là, ça permet d’assurer les frais : les toiles, les pinceaux ou la peinture, mais pas au-delà. Quant à leur inspiration, elle se différencie pour l’une comme pour l

Le journal d’un voyage sans retour.

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Ce journal, un voyage sans retour, de l’Aubrac à la Nouvelle-Calédonie écrit en Nouvelle-Calédonie, par un missionnaire mariste chez les Kanaks de 1858 à 1891, originaire du Centre de la France, Jean Gilibert, demeure totalement inconnu jusqu’en 2007. Jean Gilibert, 1818-1891, porté par un ardent désir d’aller en Orient, quittera la France à quarante ans, évangélisera l’île de Pot, au nord de la Grande Terre, avant de faire connaissance avec les « transportés » de France, après la Commune de Paris. Ce journal que l’auteur, à sa mort en 1891, voulut confier à sa famille, n’avait encore jamais fait l’objet d’une étude sérieuse. Cet ouvrage fut conservé plus d’un siècle dans la maison Gilibert d’Auliac de Jabrun, aux confins de l’Aubrac. Le cinquième enfant d’une fratrie de six le rédigeait au milieu de tâches nombreuses, dans des îles et stations reculées du Nord de la Nouvelle-Calédonie. Il le remit à son frère, Antoine Gilibert, longtemps curé de Saint-Flour. Il remplit 10 cahiers,