LES BONHEURS DE PAULOCHON

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  Les Cantaïres de l’Aubrac se produisait en concert mardi dernier en l’église de Fridefont. Il ne restait pas un prie-Dieu libre. Le public ne se trompait pas sur la qualité du groupe. « Nous formons u ne bande de copains de Laguiole, Jabrun, Lieutadés et ailleurs, inconditionnels de leur terre d’Aubrac . » Tout au long de la soirée, ils délivreront «  les belles chansons qu’inspire le plateau » . Cette vingtaine de choristes remplis d’enthousiasme adore chanter son pays. Ils cultivent mélodies, poésie et romantisme. Avec Bonjour l’Aubrac, l’antienne d’ouverture, le terroir, ses fleurs, chemins, vallées et amours, n’échappent pas au lyrisme autochtone. Chaque texte est présenté dans son contexte. Les intitulés parlent pour eux : le temps des fenaisons, violettes d’Aubrac, sur les sentiers de l’Aubrac, la gentille hirondelle et divers airs connus. De nombreux auteurs, musiciens, paroliers : Jean Pons, Gérard Delort, Jean Vaissade et tant d’autres délivrent bourrées, valses, tango o

Au Couffour ce soir

Ce lundi soir, les curieux et amateurs d’anecdotes participaient à une visite de Chaudes-Aigues « pas comme les autres » avec une guide-conférencière-actrice elle saluait tout le monde personnellement. Une fois l’accueil réalisé par madame de la Renardière, au jardin, la troupe suivait cette guide particulière. Elle appréciait de trouver un ou deux laquais, volontaires désignés pour porter son sac. En sa compagnie , plusieurs dizaines d’observateurs remontaient le temps à travers les ruelles de la ville chauffe-eau. Effectuaient un petit tour dans son passé et ses chroniques au 19e siècle, notamment avec quelques projets inadaptés d’établissement thermal. De la source du Par, au lavoir et dans divers recoins, la phalange découvrait avec drôlerie le vécu Caldaguès. Reçus par le couple Puechemaille au café Costeroste, groupe par groupe, les visiteurs entraient dans l’histoire de France avec celle du Clairon Rolland lors de la conquête de l’Algérie. La promenade se prolongeait par l

    Le concert du Duo Nuances se déroulera à partir de 18 heures ce jeudi  1 aout au lieu de 20 h 30 comme annoncé. Libre participation

     dans votre cinéma

à l'ombre du château

 Rien que la fête

Le Duo Nuances, piano et accordéon classique, donnera son concert en l’église de Chaudes-Aigues le jeudi 1er août 2024 à 18 heures. Le Duo Nuances, démontre une véritable complicité entre les deux musiciens et leurs instruments. Ce lien si étroit leur permet de ne faire qu’un sur scène. A chaque concert, le public se trouve conquis par leur bonne humeur et leur générosité. Chaque morceau est empreint d’un dynamisme collectif. Chaque concert se transforme en un véritable moment de bonheur. Une musique libre, mélodique, virtuose et inspirée qui décline les nuances multiples des possibilités de leurs instruments ajoutées à la virtuosité des artistes. Au programme: les plus grandes musiques de films pour découvrir la place primordiale de la musique classique dans le cinéma. Leur dernier passage en Caldaguès remonte au 1 er août 2019. Entrée à libre participation 

Éric Vassal tenait une conférence il y a peu à La Source pour explorer les corrélations entre le cinéma et les arts plastiques du XXe siècle depuis Méliès et Gustave Moreau. Rappelons qu’après avoir collaboré avec Le Monde et le magazine Télérama, Éric Vassal devenait illustrateur pour de nombreux autres quotidiens. Son travail s’est développé à travers un dialogue constant entre la sculpture, l’œuvre picturale, l’estampe, la photographie et la vidéo. Aujourd’hui il reste aussi le complice, compère de Laurent Bout, président du CLAC. Durant une heure trente, il parlera de l’interaction qui existe entre l’écran et les tableaux. Il commencera par celui de Méliès avec Gustave Moreau. Tout au long de sa réflexion, il présentera des extraits de films, des peintures, costumes et dessins, mettant en lumière leurs relations. Organisée autour de grandes sections thématiques…elle retrace l’histoire de l’image animée des frères Lumière à Claude Monet, de Chaplin à Picasso, de Buñuel à Cocteau