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Affichage des articles du septembre 28, 2014
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Les violons du Mamou au Couffour Samedi soir Fabienne et Laurent au Couffour recevaient « les violons du Mamou ». Parents, amis et clients participaient à la fête. L’ensemble, six violons, trois guitares, produit une tonalité singulière, une rythmique entraînante. Les exécutants mettent leur énergie débordante au service de la danse, rien que de la danse. Le public se montrait perméable à la sonorité de cette orchestration traditionnelle, pittoresque et culturelle distillée par les interprètes. Mais au-delà de la prestation musicale intrinsèque, le groupe appelait les spectateurs à gambiller. Deux animatrices passaient dans les rangs pour convier l’assistance à s’aventurer sur le parquet. Si la première fois les « clients » ne se précipitaient pas, petit à petit la persévérance souriante, cordiale et amicale produisait son effet. L’instrumentation festive, ludique et joyeuse happait la salle et les participants. Les danseurs en chaussures de ville, baskets ou espadrilles, b
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« Construire un feu » une histoire en trois dimensions Ils étaient petits et grands, une septantaine pour une rencontre au cinéma La Source avec le talent de Jack London. Une lecture dessinée et musicale. L’écrivain situe l’action de cette nouvelle dans le Klondike, qu’il a lui-même connu pendant l’hiver 1897-1898 en participant à la ruée vers l’or. Le héros sait que la rivière est complètement gelée même si elle peut cacher des pièges mortels. Lorsqu’il s’arrête pour déjeuner, le froid l’oblige à construire un feu. « Accroupi dans la neige, il tirait des branchettes du fouillis de bois mort et les posait directement sur la flamme. Il savait qu’il ne pouvait risquer un échec. Quand il fait soixante-quinze degrés au-dessous de zéro, on ne peut pas écho uer dans sa première tentative de construire un feu… » La voix de Phillipe Malassagne est claire, la diction parfaite, chaleureuse. Dans une langue simple, centrée sur l’action, Jack London donne une leçon d’humilité aux hommes. L’être
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La grosse ambiance de la soirée du foot.   C’est une évidence l’ambiance n’est jamais moins chaleureuse que chez les footballeurs et leurs supporters toujours enclins à fêter une victoire ou pleurer une défaite avec la même énergie. Ce vendredi les responsables de l’Association sportive Caldaguès ont mis leur savoir-faire au service de tous ceux qui voulaient partager une soirée. Autour d’un menu composé, par Jean-Michel André, de jarretons aux pois de la planèze qui sortait le gastronome des habituels potée et autre aligot. Étaient invités le Souffle du Par pour le chant et la bourrée du Caldagués pour le folklore. Ces trois associations se sont liguées dans leur démarche et attitude pour poser en préambule une vraie belle atmosphère au moment du repas comme le footeux effectue ses étirements d’avant match. Lorsque L’ambianceur, Luigi connu et reconnu, attrapa sa guitare colla sa voix dans le micro, accompagné par sa machine à danser infernale, la température grimpa de pl