LES BONHEURS DE PAULOCHON

Chaque année au moment de la rentrée la direction de Louis Pasteur réunit les parents d’élèves pour une grand-messe sur les programmes et les prescriptions de la vie scolaire. Depuis l’an dernier, cette rencontre se déroule au cinéma la Source où les installations permettent tous les supports de diffusion. Pierre-Jean Belondrade ne manquait pas de signaler la disponibilité du personnel notamment de son animateur Aymeric et la qualité de l’équipement :. « P ourquoi s’en priver, d’autant que nous n’avons que la cour à traverser. En toute sécurité  ». Dans son propos il détaillait les diverses modalités et obligations surtout en ce qui concerne les protocoles sanitaires sur lesquels il insistait particulièrement. Désormais, par exemple chaque classe occupe sa salle exclusivement. Il présentait l’équipe pédagogique au complet. La vie scolaire demeure au service des élèves : gestion des absences des études et de la surveillance. Il effectuait un rapide bilan du module je m’ouvre au mon

Vous connaissez le proverbe : pluie de la première heure n’arrête pas le golfeur. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Le dicton pourtant se confirmait. Beaucoup de chance donc pour cette fête, le dimanche dès potron-minet les averses accueillaient le jour et arrosaient les tripoux. Finalement au fur et à mesure elles laissaient place à un temps convenable. Un soleil timide certes, mais bien présent égayait l’évènement au golf de La Valette. Près de trente joueurs avertis ou béotiens ont participé le matin aux divers ateliers encadrés par les plus férus de la discipline. Autour de cinquante aligots-saucisses se dégustaient au moment de la pause méridienne qui se prolongeait jusqu’au concours de pétanque. En collaboration avec le club Caldagués la compétition accueillait 22 doublettes avec quelques « étrangers » de Mur-de-Barrez ou Saint-Flour dans une excellente ambiance chaleureuse à l’aune de la manifestation dans son ensemble. L’humeur affichait la détente et la sportivité tout

Joseph passe une enfance heureuse entouré d'une famille aimante. Pourtant, chez les Guillotot, personne n'est d'accord. Tandis que Marius, son père, défend activement les idées de Jaurès, sa grand-mère Rosine, très pieuse, ne supporte pas la séparation de l'Église et de l'État soutenu par son gendre ! Joseph, lui, n'a qu'une passion : courir. Qu'un rêve : devenir champion olympique. Avec ses deux amis, Rachel, la fille du maire, et Adrien, le fils du boucher, il passe des heures à s'entraîner. Mais la guerre est déclarée, et pourrait bien bousculer le destin de ces trois amis... Maurice Chalayer aime «  traîner  » sur l’Aubrac, pendant ses trois semaines de cure thermale à Caleden, chaque année. Il est l’auteur de plusieurs romans, «  Les promesses du haut pays  », «  La paix des collines  », «  Retour à Rochessac  », «  Un buisson d’aubépine  ». Mardi 29 septembre à partir de 15 heures l’écrivain se tiendra à la médiathèque Saint-Jacques parlera

Le village de vacances ne s’en tire finalement pas trop mal dans le malheur du COVID. Les mois de printemps et ceux de l’automne ne sont pas au niveau certes. Mai et juin sont perdus et ne se rattraperont pas. C’est impossible à récupérer affirme Stéphane Poupin qui nous a reçu pour poser un bilan contrasté de cette saison. Tout a commencé en retard, la décision d’ouvrir le 11 juillet est longtemps restée aléatoire. La mairie a donné un bon coup de main pour le démarrage en effectuant nombre de travaux d’entretien. Et puis très vite le village s’est rempli pour se trouver complet du 18 juillet au 29 août. En septembre la clientèle, fragile, curiste habituelle n’a pas répondu présente. Ce que l’on comprend avec les risques sanitaires évidents et des médecins qui déconseillent à leurs patients de faire le voyage en Caldagués. Avec un quota restrictif de 170 personnes-jours, pas de soins de remise en forme, cela devient insurmontable. Le village reste cependant un atout économique in

  Vendredi 25 à 21 heures: LA BONNE EPOUSE Bande annonce: https://youtu.be/Zc7hg7-2Pjs Synopsis: Tenir son foyer et se plier au devoir c

  L’autrice cantalienne, trois jours à peine après la sortie de son treizième titre, le dédicaçait à la librairie Grousset sur la place du marché Caldagués. Malheureusement, le succès a tué le commerce puisque Impasse des demoiselles, se déroule à Chaudes-Aigues, était épuisé en un temps record. Les retardataires dont je suis n’avaient plus que le sourire de l’écrivaine en compensation. Il faut dire que Sylvie Baron est d’abord facile et sympathique. Nous nous sommes entretenus sur cette fiction. Elle précise: Une histoire, je ne raconte pas les histoires de Chaudes-Aigues. Les personnages ne sont que fictifs même si les lieux existent. Heureusement ! Avec humour et disponibilité elle survole le récit. Dans la petite cité thermale de Chaudes-Aigues, les ruines de l’ancienne tannerie sont le terrain de jeux favori d’une bande d’adolescents, inséparables. Dix ans plus tard, Nine Lajarrige, partie à Paris, fait un retour triomphant chez sa sœur Sophie, restée au pays et mariée à Adam

Il existe comme cela des assertions dont on ne sait d’où elles sortent, mais qui ne valent que pour la rime. «  Les guêpes n’ont rien à voir avec les cèpes  » nous affirme Daniel Fouchard qui en maîtrise un rayon en matière de champignons. Il sévit en Caldagués, hébergé par le VVF des hautes terres, depuis 12 ans, chaque mois de septembre sans discontinuer. Il diffuse ses connaissances auprès des curistes, touristes ou autochtones. Le monsieur est mycologue par passion et profession. Incollable, il ramène sa science partout où on le sollicite pour la partager. Le mycophile s’efforce de donner un nom à chaque spécimen récolté, il reste humble face à sa découverte et n’en tire aucune conclusion hâtive, surtout quand il s’agit de passer par la cuisine. Daniel est un pragmatique, il constate, observe en plus, nourrit sa culture. Il vous dit, explique les mots qui caractérisent chaque variété. Le prendre en défaut ? Jamais sa mémoire ne défaille, en constant éveil. Cette année, COVID o

Participez à un ramassage de déchets

Prévu dès janvier, le voyage au mont Aigoual promettait une belle sortie pour une potentielle cinquantaine d’adhérents d’Intergénération. La Covid 19 est passée par là et seulement 20 personnes ont osé affronter ces 48 heures d’escapade. Les participants ne regrettent rien. L’observatoire du mont Aigoual est la dernière station météo de montagne habitée en France. Sur ce sommet à 1 567 m d’altitude, les conditions climatiques restent extrêmes. Le mont Aigoual s’élève à quelques dizaines de kilomètres de la mer Méditerranée, au sud des Cévennes. Grâce à cette position géographique, la cime permet un très large tour d’horizon vers 13 départements. Et dans le désordre, ils découvraient d’autres lieux emblématiques. La grotte de Dargilan captive par ses dimensions impressionnantes et par la variété de ses concrétions aux couleurs naturelles accentuées. Sur le causse de Sauveterre, le Point-Sublime offre aux visiteurs le spectacle de ces merveilleuses falaises ocre qui plongent dans le