LES BONHEURS DE PAULOCHON

  Comme cela s’effectue de temps en temps en marge du Grand Parcours des animations pour les loupiots s’organisent. Pour cette trentième édition, de manière à ce que tout le monde profite de l’anniversaire, les adultes de la manifestation orchestraient un mini raid. L’épreuve sans classement ni point, mais avec un diplôme se déroulait au jardin d’agrément de la piscine où se déployaient plusieurs ateliers littéralement pris d’assaut dès 14 heures. Soixante-huit, pour ne pas dire 70, ces gamins participaient et montraient un bel enthousiasme pour tout goûter. Friands de l’ensemble, ils ne trouvaient que l’embarras du choix : Tir à l’arc, accrobranche, trampoline, escalade, VTT, quilles de huit et biathlon satisfaisaient leur faim de découverte et d’aventure des jeunes insatiables. Ces ateliers demeuraient animés par des associations partenaires du grand parcours ou qui tiennent boutique sur le pays Aubracien. Les quilles de huit réunissent toutes les générations autour d’un loisir pou

Au lieu de divaguer sur les travaux d’ossature en cours, nous avons pris l’attache du chef d’équipe de la société Poulingue, titulaire du marché de rénovation. Corentin, 23 ans, dirige les opérations sur la charpente. Il détient un baccalauréat professionnel de menuisier-agenceur. Il a poursuivi avec un Brevet de Technicien supérieur «  systèmes constructifs bois et habitat » obtenu en alternance. Le possesseur de ce diplôme intervient de la conception technique à la réception des ouvrages d’édification en bois. Il compte déjà 4 années chez Poulingue. Il se pliera bienveillamment à nos questions de béotien en la matière. Comment vont-ils procéder sur ce chantier délicat ? « D’abord, on reste sur ce qui existait, on échange les éléments semblables, aux mêmes dimensions, que les anciens. Tout est pourri, le danger se trouve là. On prépare la pièce à remplacer, on laisse juste quelques attaches. On vient avec la grue retirer la poutre abîmée et la changer par la neuve. » Et mirac

  En musique et crème caramel

Septembre 2018, la mauvaise nouvelle se répand à la vitesse de l’éclair dans la cité thermale, l’espace thermoludique fermait, en cause, la dégradation de la toiture avec un risque d’effondrement. Les avis divergent sur la gravité des nuisances. Finalement au bout de quatre années de tractation entre assurances, entreprises et experts afin de démêler l’écheveau des responsabilités, l’avenir s’éclaircit. Débats, concessions, discussions débouchent sur un protocole d’accord en mars 2022 qui met un terme au litige. Il permet d’envisager la reconnaissance du préjudice et son dédommagement pour la reconstruction. La procédure donne raison aux décisionnaires de la SAEM thermale. Le volume financier du dédommagement reste confidentiel. Pour les pertes d’exploitation, prenez votre calculette, 45 000 entrées l’an à 15 euros de moyenne sur cinq exercices, soit 3 375 000 €. Ajoutez à cette évaluation empirique, les empêchements collatéraux sur certains soins, les dégâts sur l’économie l

L’estrade du cinéma La Source n’est pas une scène de théâtre, pas de profondeur, une ouverture insuffisante, pas de coulisses. Vouloir y jouer une pièce avec une troupe conséquente s’avère dommageable pour les écoutants tout autant que pour les acteurs. Cela advint l’autre soir avec le malade imaginaire de Molière porté par les élèves du conservatoire de Saint-Flour, communauté. L’intention restait louable, mais frustrante pour les soixante-quatre auditeurs. La compagnie donnait cependant un spectacle baroque, décalé et de belle humeur, dans une élégante énergie. La qualité des intermèdes musicaux ajoutait au plaisir du texte, où serge Lama s’invitait par le truchement de son tube « je suis malade » et Gaston Ouvrard avec « je ne suis pas bien portant ». Ces anachronismes posaient des références actuelles. Argan, le « malade imaginaire », veuf, a convolé en secondes noces avec Béline, qui simule des soins attentionnés, mais n’attend en réalité que le décès de son époux pour hériter.

La station thermale outre de proposer des cures vous permet aussi de pratiquer des ateliers de prévention santé. Ces modules, complémentaires aux soins hydrominéraux demeurent également ouverts au public Caldaguès à des horaires bien définis. Élodie Déal se trouve missionnée pour ces activités au nombre de places limitées. Cela pour obtenir une efficacité de l’entraînement et une intimité raisonnable préservée qui autorise un accompagnement spécifique à chacun. Le pôle offre deux composantes. Le Pilates se veut un procédé d’élargissement musculaire basé sur des exercices à exécuter précisément. Ils affermissent votre corps, renforcent l'équilibrage et l'assouplissement articulaire . Le Body Gym peut être considéré comme une méthode de gymnastique destinée à toute personne désireuse d’améliorer sa forme selon sa condition physique et ses problèmes de constitution. Il peut être pratiqué en tant qu’activité sportive principale, ou discipline de complément, voire de préparation.

  pour les loupiots aussi

  Pour le moins, que l’on puisse dire le challenge Chambon-Tuffery, le nom des deux anciens joueurs Caldaguès, a fait le plein. Cette situation obligeait les organisateurs à se montrer astucieux pour accueillir tout le monde. 74 doublettes, et leurs accompagnants remplissaient le parking de la piscine. Le terrain officiel pour certaines équipes migrait sur les allées du Jardin d’agrément, voire la plateforme proche de l’aire des enfants. La compétition aux dires des spécialistes affichait plusieurs duos redoutables dans ce genre de tournoi. Débuté à 15 heures, il s’achevait du côté de 23 heures pour délivrer son verdict. Bernard Gémarin et Didier Atger ne se relâchaient pas et parvenaient en finale, de l’épreuve du B. Les Caldaguès savaient négocier cette phase relevée pour terminer au sommet du podium. Pour le concours principal A, la doublette Barabande Jean-Marc Arnal Jean-Claude Roche montait sur la première marche. Dans le C les Sanflorains, Laurent Fillon et Pierre-Louis F

Le mercredi 31 mai, le club amitié en Caldaguès organisait son repas de printemps sur le site de La rosée du matin, commune de Nasbinals. Le lieu nourrissait des réminiscences chez beaucoup. Ravivait des moments heureux de leurs jeunes années. Les anecdotes ne manquaient pas. Certains souvenirs remontaient pour beaucoup à plusieurs décennies. Et la nostalgie envahissait l es esprit s . Quatre-vingt-sept adhérents prenaient place autour des tablées. Cette rencontre gastronomique, au sortir de l’hiver, reste très appréciée. L’ambiance joyeuse et amicale s’entretenait, au cours du repas, par l’intervention de quelques poètes patentés de l’association : Eugène, Mimir, Hélène, Pierrot et René. Le prochain rendez-vous demeure, courant juin, pour le voyage annuel qui se déroulera au Tyrol, dépaysement garanti.