Contrairement à ce que l’on aurait pu penser la majorité des
autochtones apprécie l’installation de ce panneau électronique
d’information. Mon réseau de lecteurs et accessoirement les amis
de Facebook font tous état à des degrés divers d’une
satisfaction comme rarement. Aparté ! Juste pour vous préciser
que vous pouvez depuis mon blog me donner votre avis sur un article
dans sa forme, mais aussi et surtout sur le fond. Pour cela utilisez
le module de « contact » au fond de la colonne de gauche.
Pas tous à la fois : vous étiez 668 mercredi et 688 jeudi et
déjà plus de 400 à l’heure, ce vendredi soir, où j’écris ces
lignes. Il y a sans doute des choses ou décisions qui vous
chagrinent comme pour le président de la communauté de communes,
rencontré par hasard ce vendredi matin place du marché. Il en
appelait à ma sagacité pour trouver une anomalie sur ce fameux
panneau lumineux. Vous me connaissez, toujours à l’affût de la
petite bête pour un bon mot ou matière à humour. J’eus beau me
remuer les méninges. Rien ! Je ne cherchais pas là où il
fallait. En fait Monsieur Louis Raynal donna la réponse. « La
communauté de communes a participé à hauteur de 7500 euros
pour cet aménagement, quasiment la moitié du coût, et je ne vois
pas notre logo ». Lâcha-t-il, pas courroucé, mais presque,
suffisamment agacé,emmouscaillé par cet incident diplomatique, sans
doute involontaire. Maintenant il va s’agir de savoir où apposer
ce fameux logo. Cassé ! Comme dirait Brice, celui de Nice, pas
l’autre. Finalement des broutilles. Mais quand même jamais
unanimes dans le contentement... Personnellement j’ajouterais bien
mon grain de sel… On va attendre un peu.
Le quartier Saint-Julien réuni autour d’une table
Finalement, ils ne sont pas très nombreux dans le quartier, vous direz-vous. Et vous n’aurez pas tort. Sauf que tous les habitants ne participent pas , mais les essentiels sont présents avec les indispensables pour cette rencontre d’été dans la rue. Une réunion qui se perpétue désormais au fil des années. Alors, pour cette soirée, chacun apporte sa bonne humeur et sa disponibilité. Ceux-ci mettaient en place les tables, Michel faisait cuire les saucisses, cet autre préparait les boissons, et les plus jeunes s’amusaient, tout ce qui construit la vie d’un quartier. Les coorganisateurs Delphine et Pierre, usaient de bienveillance pour orienter le tout. Ils procèdent, le temps d’une soirée à une pause tout à fait réconfortante avec Alice et Tom, les plus jeunes. Ils ont accompagné leur grand-père. Ils ne restent pas les derniers pour ajouter à l’ambiance. Cet événement renforce les liens sociaux et de lutte contre l'isolement dans le quartier. À se rassembler pour un moment de parta...