Courir, sourire, emplettes et averses en attendant le père Noël

Par PAULOCHON
Qui est dans le sapin?

Le 21 décembre, le comité d’animation Caldagués s’engageait à vous occuper tous à partir de 14 heures. En premier lieu, un marché de Noël en la chapelle des pénitents pleine comme un œuf, 21 exposants proposaient des idées de cadeaux en dernière minute. Tout le monde trouvait satisfaction dans cet achalandage : du miel et des couteaux, des bijoux fantaisie et des confitures, des tableaux de perles ou des portraits de vaches Aubrac. Cette diversité de produits de qualité comblait le meilleur du goût. À 15 heures, une vieille paire de baskets, un t-shirt usagé suffisaient pour protéger les autres vêtements. De la bonne humeur en chaussures de sport pour un color-run hiémal, qui possède le mérite de la singularité tant ce genre de compétition est réservée à la belle saison. Et bien, cela fonctionne aussi en hiver avec une matinée ensoleillée. Quatre-vingts coureurs ou marcheurs crapahutaient à l’envi sur un ou deux, voire trois ou quatre tours, dans le temps imparti, à travers les jets de teinture. À peine arrivé et remis de leur ardeur, la pluie s’est invitée aux festivités et malgré les efforts déployés la déambulation lumineuse prenait quelque peu l’eau. Les plus hardis ont effectué leur promenade de la cité thermale pour accompagner les quelques anonymes costumés avant de se retrouver devant une fortifiante soupe au fromage. N’oublions jamais le mot populaire et sa vraie signification : « Qui s’adresse au peuple, au public le plus nombreux, qui est conforme aux goûts de la population ». N’en déplaise aux pisse-vinaigre de la critique, qui trouvent ça « con ». Voilà un après-midi parfaitement populaire, joyeux et animé, sans autre prétention que le divertissement et le lâcher-prise. « Ça fait du bien à notre cité des eaux chaudes ! » a écrit, sur les réseaux sociaux, une personne. 


 

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Par PAULOCHON
Bon d’accord c’était deux semaines après le jour de Pâques. Mais peu importe, le soleil brillait. Une trentaine de gamins entre 11 et 2 ans s’inscrivait. Cette année, les cloches voulaient mettre du piquant dans la recherche des œufs. Elles ont choisi de dissimuler leur trésor dans tout le village depuis le parc d’agrément de la piscine jusqu’à l’église en passant par le parc Juéry puis la source du Par et Géothermia. Une épreuve de charades s’adressait aux 20 concurrents de 6 à 11 ans, au jardin avec des comptines pour 16 participants de 2 à 4/5 ans. Les parents se prenaient au jeu et accompagnaient leur progéniture dans la quête des messages en forme de devinette. Pour obtenir des chocolats, chacun se devait d’élucider l’énigme, pas d’autres solutions que de résoudre le mystère pour pouvoir progresser. Chacun triturait son carnet de bord qui servait de guide et de bloc-notes. Petit bémol, certains casse-tête dépassaient la capacité de certains enfants voire d’adultes. Les plus jeune
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