Les formes dans la nature à la médiathèque

Par PAULOCHON



En une magistrale synthèse d’art et de science, l’exposition actuellement proposée par la médiathèque explore l’univers des physionomies naturelles et l’illustre de photographies ici rassemblées et confrontées. Cette manière amusante permet d’apprendre aux enfants à reconnaître les symboles géométriques plans les plus courants dans les biotopes. Sphères, hélices, réseaux, explosions, les formes fondamentales se répètent, imposées par les contraintes physiques de notre écosystème à trois dimensions. Cette approche pluridisciplinaire justifie de comprendre que toutes les figures demeurent dans l’environnement. Les phénomènes dans leur comportement se montrent fascinants et omniprésents. Ils peuvent être observés dans les structures des cristaux, les spirales des coquillages, les motifs des feuilles, et bien plus encore. Les polygones, les polyèdres, les hexagones des nids d’abeilles se veulent une merveille d’efficacité et de symétrie. Les écales logarithmiques d’escargots suivent des proportions mathématiques précises. Nous n’irons pas plus loin dans les gros mots. Cette installation, proposée par le service culturel du conseil départemental du Cantal, s’accompagne d’ouvrages idoines. Pour mieux comprendre que l’apparente diversité du monde réel résulte de variations complexes sur les thèmes simples : branchements, méandres, explosions, organisations de base que le jeu des lois naturelles privilégie.

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Denis Turière a quitté Filhon...

Par PAULOCHON
« En octobre 2018, à l’occasion de l’édition de son autobiographie, il me recevait à Filhon pour deux heures d’entretien. Voici la totalité de notre rencontre. »     Denis Turière vient de mettre une partie de son existence sur le papier, une autobiographie en deux tomes et 900 pages. Qu’avait-il de si important à dire ? Il raconte simplement sa vie, celle qui l’a amené d’Oradour au Moulin de Filhon en passant par Paris, Lomé et quelques autres lieux du globe terrestre. Je ne connais que sa réputation d’homme d’affaires. Par curiosité, je me procure les ouvrages. J’ai avalé le tout en dix jours chapitres après pages. Entre « le cheval de Marsac » de Louis Michel Cluzeau et quelques « mystères du Cantal » de Daniel Brugés. C’est ce que l’on peut appeler un grand écart culturel. Quoique... C’est au moulin de Filhon, un lieu que le propriétaire a modelé à l’image de son rêve, qu’il me reçoit, tout en bonhomie. Denis Turiére n’est pas écrivain, ...
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Le Syndicat Simmental des Volcans tient sa première assemblée générale.

Par PAULOCHON
Fondé depuis 2023 les 20 membres du Syndicat Simmental des Volcans, un mouvement nouvellement créé i ncarnent les éleveurs de la race bovine Simmental, pour la promouvoir et assurer sa représentation dans le Cantal. Ils tenaient leur première assemblée générale sur les terres Caldaguès du côté d’Anterrieux. Marcel Chastang, maire de la commune accueillait chaleureusement les particpants. Le président Baguet, lui, ouvrait la rencontre et remerciait les présents, Romain Chastang et la municipalité pour leur accueil. Il laissait au plus vite la parole au trésorier qui énonçait l’état des finances et remerciait les partenaires qui encouragent leur association. Parmi eux Géraud Valadier le directeur de la coopérative Jeune Montagne de Laguiole explicitait sa démarche de soutien et appréciait le nom de leur syndicat. Leur cahier des charges exige des Simmental pour la fabrication de leurs productions. Ensuite Hervé Vignon, responsable technique chez Simmental France, développait cer...
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Jean Sarrus était venu à La Source En janvier 2020, juste avant le confinement, Jean Sarrus passait par la cité thermale, invité conjointement par le cinéma La Source et le collège Louis Pasteur. Voici un extrait de mon article. L’habitude est devenue une institution une fois par trimestre les collégiens passent de la cour de récréation directement à la salle de cinéma pour une séance d’amusement avec la projection d’un film de pur divertissement moins scolaire, quoique. En amont, Aymeric Delcros, animateur des lieux et Pierre -Jean Belondrade, principal de Louis Pasteur, s’accordèrent pour donner à voir «  le grand Bazar  ». Mais ce jour-là un des acteurs majeurs, Jean Sarrus, ex-Charlot accompagne le long métrage. Le défi demeurait parallèlement de montrer ce film de 1973 à des adolescents, mais également des adultes, qui n’étaient pas nés à ce moment-là, pas plus que leurs parents, pour qui le nom des Charlots et de Jean Sarrus restait inconnu jusqu’aux premières image...
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