L’allègement du cycle pédagogique permet aux jeunes Caldaguès du
1er degré de disposer de périodes consacrées à la découverte
d’activités grâce à la réforme des rythmes scolaires qui a
instauré une nouvelle distribution des programmes des élèves.
Ces emplois du temps organisent des moments en lien avec les arts, le
sport, l’environnement, la citoyenneté, la culture générale pour
favoriser la documentation et l’expérimentation. 70 enfants ont
participé au premier trimestre. La cuisine servait de fil rouge avec
de nombreuses animations comme la confection d’un gâteau, des jeux
autour des odeurs, la semaine du goût, un rallye dédié, la
fabrication d’un « mémory » des aliments. Le vendredi
16 octobre s’organisait un atelier de vraie gastronomie avec Simone
Gascuel du Moulin des templiers… Mais on trouvera aussi au cours du
trimestre de la danse, du football, des découvertes à la
médiathèque, du handball, la production de pantins. Le choix d’un
livre pour initier à la création de personnages, des activités
purement manuelles, des chants, du ballon encore, des moments
culturels alimentaient le programme. On remarquait aussi et surtout
les photos des marionnettes que les cours
élémentaires et les
cours moyens
avaient confectionnées avec des matériaux de récupération. Enfin,
les CM avaient imaginé un scénario dédié à leurs personnages.
Ils avaient filmé chaque séquence pour monter et montrer l’histoire
dans son entièreté. Un court métrage récolait également les
clichés des années précédentes, les vidéos d’une sortie chez
les pompiers, des danses apprises avec Emmanuelle Tresson, la chasse
au trésor, les visites de ville et la médiathèque… Tout cela
s’est terminé par un goûter.
L’union Aubrac ragaillardie mais...
Ce jour d’août là, impossible de trouver une place de parking à Beauredon et alentour ! La faute à l’Union Aubrac qui tenait son assemblée générale dans la salle éponyme pleine comme un œuf ? Après les propos de politesse et d'accueil, les membres passaient aux choses sérieuses, à savoir le bilan d’une année par le président Yves Chassany. « En 2024, le discours « anti-viande » ou « anti-élevage » connut un certain apaisement, ce qui permit d’avoir une communication plus professionnelle et moins extrémiste. » Même si le risque est toujours là. La reprise des cours amorcée depuis quelques mois demeure donc la bienvenue pour remettre à niveau des trésoreries en souffrance. Si l’on observe une relance générale dans la catégorie des broutards, les prix des reproducteurs peinent à suivre l’inflation. Trop d’acheteurs ont encore du mal à considérer la sélection comme un investissement rentable. 2024 restera également une année compliquée sur le plan sanitaire avec un b...