Aline Laudat, directrice par
intérim vient de présenter les vœux de la maison de retraite
caldagués. Elle souhaitait à tous : membres du conseil de
surveillance, résidents et personnels le meilleur pour l’année 2017.
Elle revenait sur la création en 2016 du module de soins infirmiers
(Siad) en partenariat avec celui de Pierrefort. Ce service n’entre
pas directement en concurrence avec d’autres professions dont les
objectifs sont de nature complémentaire à l’existant. Elle
rappelait l’épisode grippal de ce début d’année 2017 qui
a vu l’établissement confiné pendant une dizaine de jours où
toute activité facultative
a été suspendue,
visites réglementées, pensionnaires isolés dans leur chambre...
Elle remerciait le personnel, frappé lui aussi par la maladie, pour
sa mobilisation et son professionnalisme. L’épidémie a été
maîtrisée dans les meilleures conditions possible avec une
surveillance particulière envers les résidents les plus fragiles.
L’année 2017 commence pour le mieux avec des travaux qui vont
centraliser les lieux d’animations et réaménager une partie des
affectations. Le service administratif va retrouver son emplacement
originel. Les pensionnaires intégreront une salle d’activités
avec une grande baie vitrée avec vue sur le pont, le porche et la
place du faubourg d’outre, une façon comme une autre de participer
à la vie du village. Cette restructuration devrait durer un
trimestre. Elle a débuté ce lundi 30 janvier et devra être
terminée en mai. Une initiative réclamée pour éviter de
claquemurer les pensionnaires à la seule salle à manger. Un projet
de télémédecine en partenariat avec le conseil départemental
devrait poindre dés cette année. Les invités et le personnel
dégustaient la galette avec les résidents.
L’union Aubrac ragaillardie mais...
Ce jour d’août là, impossible de trouver une place de parking à Beauredon et alentour ! La faute à l’Union Aubrac qui tenait son assemblée générale dans la salle éponyme pleine comme un œuf ? Après les propos de politesse et d'accueil, les membres passaient aux choses sérieuses, à savoir le bilan d’une année par le président Yves Chassany. « En 2024, le discours « anti-viande » ou « anti-élevage » connut un certain apaisement, ce qui permit d’avoir une communication plus professionnelle et moins extrémiste. » Même si le risque est toujours là. La reprise des cours amorcée depuis quelques mois demeure donc la bienvenue pour remettre à niveau des trésoreries en souffrance. Si l’on observe une relance générale dans la catégorie des broutards, les prix des reproducteurs peinent à suivre l’inflation. Trop d’acheteurs ont encore du mal à considérer la sélection comme un investissement rentable. 2024 restera également une année compliquée sur le plan sanitaire avec un b...