Tout au long de l’été, l’Office municipal de la jeunesse et des
sports (OMJS) sanflorain organise un grand jeu qu’il décentralise
dans d’autres communes des alentours de Saint-Flour :
Chaudes-Aigues, Ruynes ou Pierrefort… Le « Saint-Flour
Co'Lympique » se trouvait dernièrement, dans la cité thermale
cantalienne. Les animateurs avaient concocté challenge et défis
convoquant vitesse et dextérité. Un travail préparé en
collaboration avec le centre de loisirs et les associations
Intergénération ou entre Bés et Truyére. Quatre groupes de cinq
compétiteurs participaient à la manifestation. Ce jour-là, le
soleil se montrait ni fainéant, ni en repos. C’est au city-parc de
la piscine que se déroulaient les épreuves la classique :
course en sac ou avec un œuf placé sur une cuillère dans la
bouche. L’habile attitude du garçon de café avec son slalom entre
des obstacles et son jeu de l’éponge complétait les affrontements
pour les quatre équipes de jeunes concurrents, encouragés par leurs
parents. Un goûter pris en commun mettait un point final à cette
première étape. Des structures gonflables accueillaient les plus
jeunes. En soirée, les familles réelles, virtuelles, amicales,
voire recomposées pour l’occasion, pouvaient s’inscrire à un
divertissement dont le principe reste simple. Douze énigmes sont
posées aux protagonistes. À chaque question, une lettre dans la
réponse doit être retenue. La totalité de ces caractères forme un
mot qui dévoile la clé du mystère. Désormais, les Caldagués
doivent montrer une coopération plus effective pour transformer
l’essai.
L’union Aubrac ragaillardie mais...
Ce jour d’août là, impossible de trouver une place de parking à Beauredon et alentour ! La faute à l’Union Aubrac qui tenait son assemblée générale dans la salle éponyme pleine comme un œuf ? Après les propos de politesse et d'accueil, les membres passaient aux choses sérieuses, à savoir le bilan d’une année par le président Yves Chassany. « En 2024, le discours « anti-viande » ou « anti-élevage » connut un certain apaisement, ce qui permit d’avoir une communication plus professionnelle et moins extrémiste. » Même si le risque est toujours là. La reprise des cours amorcée depuis quelques mois demeure donc la bienvenue pour remettre à niveau des trésoreries en souffrance. Si l’on observe une relance générale dans la catégorie des broutards, les prix des reproducteurs peinent à suivre l’inflation. Trop d’acheteurs ont encore du mal à considérer la sélection comme un investissement rentable. 2024 restera également une année compliquée sur le plan sanitaire avec un b...