Les résidents, leurs proches et le personnel de la maison de
retraite Sainte Élisabeth se sont donné rendez-vous pour le banquet
des familles. Ce moment reste l’opportunité pour chacun de pouvoir
se retrouver en prenant le temps de savourer un bon repas. C’est
au-delà des visites privées, une occasion de rencontre des équipes
pour parler, échanger tranquillement avec tous les agents au service
de leur lignée. Les choses sérieuses commencèrent par un « petit
kir châtaigne ou cassis selon les goûts », dégusté
avec beaucoup de modération bien évidemment. 90 commensaux
banquetèrent dans un décor bleu sur murs et tables et
ornementations de Noël en la salle Beauredon. Au menu : pounti,
sauté de veau, ratatouille, gratin dauphinois et fromage. Pour
terminer par une assiette gourmande des plus irrésistibles. En ce
qui concerne l’ambiance, rien n’a manqué sous l’accordéon de
Guy Tardieu. Avec ses deux acolytes ils ont ravivé les souvenirs de
jeunesse et tonifié la fête, assuré à tout le monde son content
de divertissement avec des standards traditionnels ou folkloriques.
Le repas demeure un acte social majeur empreint de beaucoup
d’attention, de la part de tous, invités ou résidents. Pour le
premier magistrat René Molines, « Ce banquet doit faire partie
intégrante de la vie de l’établissement, une étape cruciale pour
résidents et familles qui peuvent ainsi partager quelques heureux
moments autour d’une excellente table ». Il n’omettait pas
de remercier les participants à ces agapes et dire sa reconnaissance
au personnel qui a organisé cette journée avec beaucoup
d’enthousiasme. Et d’ajouter pour conclure « Ces rencontres
sont des occasions pour faire participer les familles à la vie de
l’établissement. Ce sont des moments privilégiés d’échange
avec l’extérieur. » C’était chaleureux, empli de gaieté,
sans autre prétention que de permettre aux pensionnaires de lâcher
leurs habitudes en compagnie de leur famille. Une manifestation
festive appréciée de tous.
