« L’école buissonnière » une avant-première réussie.

 
« L’école buissonnière » de Nicolas Vanier conte l’histoire de Paul qui n’a jamais rien vu d’autre que l’univers de son orphelinat en banlieue parisienne, découvre le milieu sauvage de la Sologne. Confié à Borel, le garde forestier bourru du domaine de La Fresnaye, et à sa femme, le jeune garçon ne tarde pas à faire la connaissance du braconnier le plus rusé du pays. Sur les bords de la Loire se noue alors une fraternité sincère entre l’homme des bois et le gamin des villes. Mais l’enfant se pose aussi des questions sur ses origines personnelles. Un jour, il croise un cerf majestueux qu’il veut protéger des chasseurs... Avec « l’École buissonnière », le metteur en scène rend hommage à sa région natale la Sologne. Comme dans le dernier trappeur pour les montagnes Rocheuses du Canada, Loup pour la Sibérie ou Belle et Sébastien avec les Alpes. « L’école buissonnière » se veut le chantre de certaines valeurs perdues. Avec ce film Nicolas Vanier convie le spectateur dans sa Sologne mystérieuse. Cette ode à la nature rappelle Maurice Genevoix, mais fixe aussi une réflexion sur l’identité, les racines et l’amitié. Cette chronique forte et tendre, loin de l’agitation du monde, pour son avant-première attirait cent personnes. Un public essentiellement familial, ravi et enthousiasmé par une histoire au plus près d’une ruralité oubliée. Ce résultat laisse augurer une fréquentation conséquente, comme toujours avec Nicolas Vanier, lors de sa programmation définitive.


Les articles les plus consultés

Un couple de dentistes en visite

L’amitié en Caldaguès randonne à Thiézac

Cristiane et Juan futurs praticiens dentaires !

Une innovation technologique au collège Louis Pasteur