Une deuxième journée citoyenne sous le soleil.

 

La journée citoyenne vise à mobiliser les autochtones autour d’un même projet : améliorer leur cadre de vie. Cette initiative favorise la communication entre les habitants, toutes générations confondues, et tisse un lien fort. Ce temps permet de mener à bien des chantiers, souvent proposés par la population elle-même. Au-delà des travaux, la relation de cause à effet créée à cette occasion devient la priorité, avec des moments dans une ambiance sympathique et joyeuse ! Ce 26 mai, les cieux se montraient capricieux au départ puis s’apaisèrent comme pour se mettre au diapason philosophique de l’événement. Une bonne cinquantaine de personnes participaient à ce moment de citoyenneté. Il reste tout d’abord cet « objet » qui n’est pas terminé sur l’aire de jeu de la piscine. Et ce sentier, débroussaillé pratiquement jusqu’à la chapelle Notre-Dame, mais qui surtout aspire désormais à sa sécurisation et à devenir « carrossable » pour tous : petits, grands, âgés ou jeunes. Les traditionnelles plantations pour le fleurissement de la rue de la cure s’imposaient ainsi que la destruction des herbes folles qui la bordaient. La peinture des bancs avec l’expurgation du ruisseau s’installe définitivement comme des classiques. Durant ce samedi, les bénévoles se mobilisaient et réalisaient de menus travaux pour enjoliver les lieux symboliques de leur commune. Une action utile à tous où l’élu côtoie le contribuable. Ces objectifs obligent à rencontrer les habitants, réunir les différentes classes sociales, partager les compétences, valoriser les citoyens invités à participer aux projets à effectuer, permettre aux familles entières de s’impliquer. Tous les volontaires, quel que soit leur âge et leur savoir-faire, étaient les bienvenus.





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