L’ASC bichonne son terrain du Couffour.

Par PAULOCHON

Tout le monde le sait, l’association sportive de Chaudes-Aigues entretient son terrain de jeu du Couffour en effectuant quelques matinées de corvée pendant toute l’année. Certes, ce sont parfois, souvent, voire toujours les mêmes qui y participent. Mais qu’importe le résultat est là : un espace particulièrement apprécié de tous les visiteurs. Mais en ce printemps 2019, les responsables, depuis quelques semaines, choient et préparent avec rigueur et assiduité la pelouse et les abords pour recevoir les finales de la coupe du Cantal et Combourieu. Plus de mille spectateurs sont attendus le 16 juin prochain. Pour mémoire en 2003 et 2011 la station thermale a déjà organisé, avec le succès que l’on connaît, cette compétition sportive cantalienne qui accueillera outre les matchs cités ci-dessus l’assemblée générale départementale. Joueurs et dirigeants se mobilisent pour transformer cette manifestation en réussite comme pour les deux éditions précédentes. Compte tenu des soins quasi quotidiens, le terrain se présentera au meilleur de sa forme. Il y a trois semaines, il a subi une opération d’aération. Puis un désherbant naturel et sélectif devançait deux épandages d’engrais avant de semer un gazon de regarnissage sur la totalité de la surface. Et surprise, les grillons ont colonisé l’espace, preuve que les produits employés ne sont pas nocifs. Les tontes, s’effectuent avec la machine d’entretien de fairway affectée au golf de La Valette. L’arrosage approprié complète le tout. Les abords du stade quant à eux vont essuyer la loi de la débroussailleuse. La pose de barrières suivra. Il reste à aménager et implanter les installations : chapiteau, buvette, parkings… Bref, la tension monte pour réussir cette troisième organisation de la fête du football départemental.

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Restitution du projet de cour oasis

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Une chasse aux œufs en pleine cité thermale

Par PAULOCHON
Bon d’accord c’était deux semaines après le jour de Pâques. Mais peu importe, le soleil brillait. Une trentaine de gamins entre 11 et 2 ans s’inscrivait. Cette année, les cloches voulaient mettre du piquant dans la recherche des œufs. Elles ont choisi de dissimuler leur trésor dans tout le village depuis le parc d’agrément de la piscine jusqu’à l’église en passant par le parc Juéry puis la source du Par et Géothermia. Une épreuve de charades s’adressait aux 20 concurrents de 6 à 11 ans, au jardin avec des comptines pour 16 participants de 2 à 4/5 ans. Les parents se prenaient au jeu et accompagnaient leur progéniture dans la quête des messages en forme de devinette. Pour obtenir des chocolats, chacun se devait d’élucider l’énigme, pas d’autres solutions que de résoudre le mystère pour pouvoir progresser. Chacun triturait son carnet de bord qui servait de guide et de bloc-notes. Petit bémol, certains casse-tête dépassaient la capacité de certains enfants voire d’adultes. Les plus jeune
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