Un grand parcours particulièrement bien réussi

Par PAULOCHON

Le Grand parcours s’investit dans l’organisation d’événementiels, mais en outre dans l’aménagement des lieux, chemins, passerelles, où se déroulent ses récréations d’aventure. Cette année 2019 en proposant le raid nature multisports la manifestation a voulu renouer avec sa vocation première faire découvrir un terroir. La vallée de la Truyére, celle du Bés, l’Aubrac, le Caldagués et par-delà ces endroits, communes et départements, voire régions, retenaient l’attention. Sur ces territoires de jeu, les protagonistes du plein air vantent les atouts majeurs d’un tourisme construit sur des pratiques actives certes, mais aussi empli de rencontres, accueil et chaleur humaine. Samedi 8 juin, en même temps, un petit millier de participants, venus de toute la France, s’engageait depuis la Truyére à Lanau jusqu’à la station de ski de Saint-Urcize. Soit plus de 35 kilomètres à partager, courir, pédaler, crapahuter, marcher de conserve en cet espace sans artifice. Ces différentes activités de plein air que l’on appréhende dans ces lieux que tous les professionnels du tourisme peuvent, doivent, promouvoir, développer pour renforcer l’authenticité de ces environnements. Ils génèrent des sports loisirs, de santé (Caleden), spa, varappe...Le grand parcours contribue de fait à l’aménagement et la préservation de ces usages par la création et l’entretien de chemins pour la pratique du VTT ou de la randonnée. Dans cette optique Saint-Flour communauté a construit deux passerelles sur le Rioumau et le Remontalou. L’association investit une partie de ses subsides dans l’équipement et la conservation des gorges du Bés, site majeur granitique d’escalade en Auvergne. Au détour d’une draille ou d’une sente les marcheurs découvraient musiciens, acteurs, groupes et bandas avec leurs extraits de culture. Sans oublier une gastronomie particulièrement roborative, au moment des ravitaillements ou à l’arrivée à Saint-Urcize. Et le retour en terre des Eaux-Chaudes, l’esprit et le corps détendus, satisfaits de l’effort sous le soleil Aubracien. Une grande et belle journée qui chaque année forge un peu plus l’ attractivité autochtone.


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Bon d’accord c’était deux semaines après le jour de Pâques. Mais peu importe, le soleil brillait. Une trentaine de gamins entre 11 et 2 ans s’inscrivait. Cette année, les cloches voulaient mettre du piquant dans la recherche des œufs. Elles ont choisi de dissimuler leur trésor dans tout le village depuis le parc d’agrément de la piscine jusqu’à l’église en passant par le parc Juéry puis la source du Par et Géothermia. Une épreuve de charades s’adressait aux 20 concurrents de 6 à 11 ans, au jardin avec des comptines pour 16 participants de 2 à 4/5 ans. Les parents se prenaient au jeu et accompagnaient leur progéniture dans la quête des messages en forme de devinette. Pour obtenir des chocolats, chacun se devait d’élucider l’énigme, pas d’autres solutions que de résoudre le mystère pour pouvoir progresser. Chacun triturait son carnet de bord qui servait de guide et de bloc-notes. Petit bémol, certains casse-tête dépassaient la capacité de certains enfants voire d’adultes. Les plus jeune
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