Des vœux traditionnels à l’Ehpad Sainte-Élisabeth.
C’est en présence des résidents et du personnel que Serge
Garnerone, directeur, présentait les vœux de l’établissement. Il
se trouvait accompagné de René Molines, président du conseil de
surveillance, Jean Biron et Maguy Sadron, membres de ce même
conseil. Bilan et perspectives, comme de tradition, alimentaient
cette cérémonie. 2019 a vu arriver le nouveau livret d’accueil,
un document qui décrit la structure et la promeut. Le banquet des
familles du 18 mai a permis de réunir les fratries autour d’un
déjeuner particulièrement soigné et apprécié pour son ambiance
chaleureuse. Fait remarquable également, les deux semaines
organisées à l’initiative d’AGRILOCAL 15 pour des repas
exclusivement confectionnés avec des produits locaux laissaient un
excellent souvenir. En ce qui concerne les employés, 2020 verra
l’installation d’un CHSCT. Un comité d’hygiène, de sécurité
et des conditions de travail se révèle une institution
représentative du personnel au sein de l’entreprise ou de
l’administration publique, obligatoire au-delà de cinquante
salariés. Il soulignait également la prise de fonction de madame
Bonnet pour suppléer l’absence de monsieur Lelong. À compter du
premier février, elle se partagera entre le centre hospitalier
Pierre Raynal et l’Ehpad. Sa tâche concernera l’encadrement de
l’équipe soignante, la responsabilité des calendriers de
l’effectif, les relations entre les résidents et leurs proches, le
suivi du matériel et le dossier patient informatisé. Elle
supervisera par ailleurs la mise en place des plannings d’activité.
Le projet d’achat d’un minibus adapté pour personnes à mobilité
réduite poursuit son cours, dans l’attente des aides financières
sollicitées de différents organismes. Le contrat pluriannuel
d’objectif et de moyens devra se renégocier avec le conseil
départemental et l’agence régionale de santé (ARS). Ce document
fixera la feuille de route de l’établissement pour 5 ans à
compter du premier janvier 2021. La
grille AGGIR constitue un outil de mesure de l’autonomie dans
toutes ses dimensions, à travers l’observation des activités
qu’effectue seule une personne âgée. PATHOS se veut un système
évaluatif de la gravité globale des maladies développées par les
pensionnaires. Ce
barème de calcul permet d’estimer le financement des soins de
chaque unité. Ces deux protocoles se trouveront réalisés dès le
premier semestre par madame Élodie Balez, infirmière, et le Docteur
Jean-Pierre Armand médecin coordonnateur. Monsieur Garnerone
achevait son propos en remerciant le personnel pour son
investissement dans ses tâches quotidiennes et souhaitait à toutes
et tous le meilleur pour
2020. Monsieur René
Molines, maire, abondait dans le même sens. Il rappelait par
ailleurs que le taux d’occupation des lieux à plus de 90 %
témoigne de la qualité
de vos soins, de votre accueil et de l’atmosphère
qui règne ici grâce à vous tous. Je vous en remercie, monsieur
Garnerone, ainsi que vos collaborateurs et tous les personnels sans
exception.
Les grandes vacances de madame Monique Méry.
La cérémonie des vœux à l’Ehpad
Sainte-Élisabeth reste l’occasion d’officialiser les événements
internes comme les départs en retraite. Monsieur le Directeur
retraçait succinctement la carrière de madame Monique Méry. Elle
est arrivée dans l’établissement le premier août 1984, agent de
service hospitalier. Les religieuses géraient encore ce que l’on
nommait « l’hospice ». Entrée à l’école
d’aide-soignante de Saint-Flour en 1992, elle obtenait son diplôme
en 1993. Ses 35 ans de vie professionnelle s’achèvent au
grade d’aide-soignante de classe exceptionnelle. Ses deux enfants
David et Karine lui ont donné cinq petites filles : Océane,
Marion, Coralie, Laurine et Maeva.