Ici comme ailleurs
Vous
avez possiblement vu, comme moi, les chaussées des villes vidées de
toute activité, c’est à qui montrait l’instantané le plus
parlant (c’est une expression). En cause le coronavirus. Ces
artères dépeuplées, êtes-vous sûrs qu’elles ne sont pas
abandonnées en temps normal ? Ne nous dit-on pas qu’il existe
une désertisation des centres-villes ? Voilà sans doute une
fausse nouvelle pour réseaux sociaux. Chez nous au même titre
qu’ailleurs il ne reste personne dans nos rues, ou routes, c’est
selon : point d’animaux, de promeneurs, de joggers ou de
chasseurs, la photo ci-jointe donne la preuve de ma bonne foi. Je
sais, c’est absurde, c’est bien pour cela que c’est inhabituel.
Quoique…