Faire battre le cœur de Chaudes-Aigues autrement (4)

Par PAULOCHON

La cité est étouffée par une pratique automobile absolue, qui ne doit plus dicter sa loi. Une redistribution des emplacements remodèlera l'image du bourg et nécessairement bouleversera les habitudes. Une quadrature du cercle à résoudre qui impliquera dans les années à venir une évolution des mentalités et usages de stationnement et circulation tels que pratiqués aujourd'hui en 2002.
La mutation s'effectuera progressivement, sans doute sans douleur, puisque les travaux s'étaleront sur plusieurs années. Tout commencera à l'automne 2002 avec le parking du Dr Mallet, suivront en 2003 la place du gravier, le jardin exotique ... Petit à petit de nouveaux usages s'appliqueront, des automatismes inhabituels se créeront, les palpitations et la fébrilité retomberont. Chaudes-Aigues trouvera une nouvelle identité, offrira un visage neuf, modernisé.

 

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Initiée par la mutualité sociale agricole sur une idée toute simple : qu' inventer pour animer le pays qui puisse regrouper tous les publics ? Le défi consistait à dénicher une formule où chacun trouvait son compte dans ses idéaux, ses besoins, sa culture. Tout débutait par le partage des savoirs, chacun arrivait avec son envie, la fabrication de paniers, la danse. Timidement, tout ceci se mettait en place au cours de veillées dans les quatre communes, Espinasse, Jabrun, Lieutadès, et Chaudes-Aigues. Beaucoup acceptaient le défi. Les groupes impromptus et épars se transformaient en association sous la houlette de René Brandely avec une équipe volontariste qui comprenait Viviane Gibelin. Elle succédait à René au poste présidentiel. Aujourd’hui, au moment de ses 20 ans, on apprécie le chemin parcouru. Les enfants peuvent apprendre la danse traditionnelle ou moderne. Ils s’initient aux instruments de musique. Au fil du temps, ils évoluent et restent des piliers de l’amicale en attend
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Le Prix Brigitte Mézard attribué à la Trinitat

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Des outils pour le développement du tourisme durable en Aubrac

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