Écoliers et collégiens défilent ici aussi...



Dans les cultures des pays de l’Est, le carnaval arrive avant la saison chaude et chasse l’hiver à coups de pied, de mascarade. Le carnaval demeure une fête relativement bien répandue. Il consiste généralement en une période pendant laquelle collégiens et écoliers de la ville sortent déguisés, masqués ou maquillés et se retrouvent pour chanter, danser, jouer de la musique dans les rues, défiler, éventuellement avec leurs masques effectués en classe en l’occurrence. Masque, ce mot apparaît dans la langue française pour la première fois dans le cadre d'un « arrêté contre les masques », c'est-à-dire les hommes et femmes qui se déguisaient ou se noircissaient le visage à l'occasion du carnaval. A contrario, le masque s’avérait obligatoire, il n’y a guère. Les déguisements se choisissaient afin de paraître méconnaissable ou de ressembler à quelqu'un d'autre. Il correspondait à un vêtement d'une autre époque, appartenait à une autre catégorie sociale ou s’inspirait d'un personnage imaginaire. Ces déguisements sont couramment revêtus lors de carnavals, de festivals ou de fêtes populaires par des enfants comme des adultes. Tout ce public assistait à la flambée du bonhomme Carmentran. 250 personnes participaient selon la gendarmerie et les organisateurs.





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