Tatouage et cinéma, La Source ouvre le festival dés mercredi.



 

































La salle obscure Caldagués, si elle avait participé comme lieu de rencontre et de spectacle sur les éditions précédentes, elle devient active dans la programmation du festival. L’exploitant vient de présenter une affiche « spécial festival » pour cette semaine du mercredi 29 juin au mardi 5 juillet. Des œuvres emblématiques avec le tatouage pour acteur principal : Alabama Monroe, Mon tonton ce tatoueur tatoué, et un classique des classiques dans une copie entièrement restaurée, un film inscrit au patrimoine avec Jean Gabin et Louis de Funés : Le tatoué. Ces œuvres seront multi-projetées tout au long de la semaine. Romantisme, jeune public et comédie tous les goûts et tous les âges y trouveront leur content. Alabama Monroe (Mercredi 29 juin à 21 heures, vendredi 1 juillet à 17 heures et mardi 5 juillet à 21 heures): Didier et Élise vivent une histoire d'amour passionnée et rythmée par la musique. Lui joue du banjo dans un groupe de Bluegrass country et vénère l'Amérique. Elle tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle... Mon Tonton ce tatoueur tatoué : À partir de 6 ans (Mercredi 29 juin à 14 heures, samedi 2 juillet et dimanche 3 juillet à 17 heures 30) La petite Maj vit dans le salon de tatouage de son oncle Sonny, un tatoueur tatoué aux gros bras. Tous deux s’entendent parfaitement bien, mais considèrent qu’une petite fille doit grandir dans une vraie famille, avec une maman, un papa, un frère... Comme celles que l’on voit à la télévision ! Mais ils vont vivre ensemble une grande aventure qui va les aider à réaliser qu’une véritable famille, ce n’est pas toujours ce que l’on croit ! Le tatoué : ( Mercredi 29 juin à 17 heures, vendredi 1 juillet à 21 heures et lundi 4 juillet à 20 heures 30) Félicien Mezeray, brocanteur d'art, découvre un jour un authentique Modigliani. Autant dire que la fortune est à lui. Enfin presque. Car l’œuvre a été tatouée sur le dos d'un ex-légionnaire bougon et colérique, qui n'a cure des manigances de Mezeray. Ce dernier est prêt à tout pour arriver à ses fins, même à retaper la maison de campagne du légionnaire, qui s'avère être un château du 16e siècle en ruines. 
 





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