Voilà quatre décennies la zone artisanale de la Rouniouse était
implantée, ses infrastructures adaptées aux véhicules de
transports du moment. Depuis de nombreuses années les livraisons,
voire simplement l’activité des entreprises, s’effectuent avec
des ensembles routiers plus imposants tant en poids qu’en taille.
Depuis plusieurs années les professionnels réclamaient un lieu de
retournement pratique. Si l’espace existait, il n’était
nullement approprié. Certains jours de pluie il se transformait en
masse boueuse et provoquait souvent des enlisements. La municipalité
vient de satisfaire à la demande en aménageant une zone adaptée.
Elle autorise désormais tout ensemble routier : gros porteurs,
camions divers avec ou sans remorque à l’utiliser. Une aire de
prés de trois cents mètres carrés, bloquée par un revêtement
approprié, qui supportera les véhicules de transport actuels et
leur gabarit imposant. Comme pour tout espace de ce type le
stationnement s’avère bien évidement interdit et ne peut servir
d’aire stockage. Le coût de l’opération s’est monté à la
somme de 10.000 euros, financée pour une partie par « le
produit des amendes de police relatives à la circulation routière ».
Voilà quatre décennies la zone artisanale de la Rouniouse était
implantée, ses infrastructures adaptées aux véhicules de
transports du moment. Depuis de nombreuses années les livraisons,
voire simplement l’activité des entreprises, s’effectuent avec
des ensembles routiers plus imposants tant en poids qu’en taille.
Depuis plusieurs années les professionnels réclamaient un lieu de
retournement pratique. Si l’espace existait, il n’était
nullement approprié. Certains jours de pluie il se transformait en
masse boueuse et provoquait souvent des enlisements. La municipalité
vient de satisfaire à la demande en aménageant une zone adaptée.
Elle autorise désormais tout ensemble routier : gros porteurs,
camions divers avec ou sans remorque à l’utiliser. Une aire de
prés de trois cents mètres carrés, bloquée par un revêtement
approprié, qui supportera les véhicules de transport actuels et
leur gabarit imposant. Comme pour tout espace de ce type le
stationnement s’avère bien évidement interdit et ne peut servir
d’aire stockage. Le coût de l’opération s’est monté à la
somme de 10.000 euros, financée pour une partie par « le
produit des amendes de police relatives à la circulation routière ».