Voyez comme vous
êtes.
Vous
venez de battre un record de fréquentation de ce blog. 659
connexions se sont effectuées le lundi 13 juin. Le dernier acmé
affichait 589 consultations courant mai. J’espère que vous ne
nourrissez pas d’addiction à mon « site ». Une amie
moqueuse m’a dit que c’était pour ma tête sur la photo et m’a
demandé si j’avais avalé une abeille. C’est simplement pour ma
réputation de grognon ou bougon, selon. Bien souvent vous êtes déjà
une cinquantaine à 7 heures du matin, si cela contribue à passer
une bonne journée, j’en suis fort aise. Ce n’est sûrement pas
ma tête qui peut vous mettre en joie pour 8 heures de labeur. Et
cette dame qui recourt à ma littérature la nuit quand elle ne peut
pas dormir. Cela l’apaise et l’aide à trouver le sommeil.
Soporifique à souhait le Paulochon. D’aucuns consultent dès
potron-minet. D’autres avant le devoir conjugal. Si juré, craché,
du côté d’Anterrieux. À tout le moins le soir au lit. Non je ne
dirais pas qui, n’exagérons pas. Ne voilà pas que maintenant vous
m’interpellez par « Paulochon ». Ma petite fille
mêmement. Serge Vieira, fan de la première heure, se connecte d’un
peu partout lors de ses voyages. Christian Régnier, lui ose, quand
il me rencontre, un « voilà Paul, hochons la tête ! ».
Un camarade se branche, au saut du lit, sur son téléphone en
satisfaisant son premier besoin naturel. Selon vos habitudes, vos
envies, vous êtes 400 en moyenne quotidiennement à me lire de
tous les coins de France, voire du monde… Beaucoup me réclament un
article en disant « Mets le sur Paulochon ça nous suffit »
se satisfaisant de son audience. Vous vous affranchissez de plus en
plus du papier. Quoi qu’il en soit je suis fort aise de vous
satisfaire et vous remercie de votre fidélité. N’hésitez pas à
me solliciter pour parler de vous, de votre association, vos
manifestations... Vous allez désormais pouvoir donner votre avis en
cochant une simple case au bas de l’article. Le blog se double
d’une page Facebook « Paul Auchon » où chacun peut se
« lâcher » sur l’actualité de notre microcosme
Caldagués.
Allez
bon temps rouler.