Fin de saison pour les chasseurs
Deuxième loisir des Français
derrière le football, avec plus de 1,3 million de permis
délivrés, la chasse tient toute sa place dans la société. Elle
est une actrice du développement durable et contribue à la
biodiversité. Son poids économique, social, culturel et
environnemental sur l’impact des activités bénévoles des
chasseurs ouvrent un nouveau chapitre. L’écocitoyenneté est une
réalité quotidienne au service de la vie des territoires. Nos
nemrods Caldagués viennent de terminer la saison avec au bout de
l’objectif annuel : 40 cervidés, 20 chevreuils et
38 sangliers. Ils sont une centaine de sociétaires qui
gravitent autour du local dédié dans lequel ils affectionnent de se
rejoindre, rencontrer pour se raconter des histoires de traque bien
évidemment, mais aussi d’élections, de la vie Caldagués. Quoi
qu’il en soit, ils apprécient cette maison qu’ils entretiennent
et tiennent propre. Dont ils participent également au financement,
ne l’oublions pas. Ce dimanche, ils se retrouvaient une
cinquantaine pour contribuer à un moment de bonne humeur et de
partage. Le fumet de quelque met spécifique à la venaison
embaumait l’air de février. Excitait les papilles et les appétits
des grands comme des petiots. Les épouses, compagnes ou amies ne
dédaignent pas cette ambiance festive. Bref, ils érigent en
pratique cette assertion : « La
chasse n’est pas compliquée, elle mérite juste un peu de talent
et de passion » de
l’écrivain Paul
Vialar, fameux auteur cynégétique.