Cours préparatoires et grande section vont à la bibliothèque.

Par PAULOCHON

Sorinac Taillade veut inculquer de bonnes habitudes à ses élèves de cours préparatoire et de grande section. Elle les emmène une fois par mois à la médiathèque Saint-Jacques. Les loupiots apprécient ces moments passés au milieu des ouvrages mis en valeur par Véronique. Et puis ils montent dans la pièce du haut qui leur est dédié. Là, ils peuvent ouvrir, feuilleter les livres qui sollicitent leurs sens. Albums subliment colorés, illustrations joyeuses, textures singulières nourrissent leur bonheur. Cette fois-ci, les fascicules pour les prochaines vacances comme : « Que fait le père Noël quand il ne distribue pas de jouet aux enfants » ou « Tipy fête Noël », « contes et merveilles de Noël », « Le Noël de petit loup » aiguisent leur curiosité par leur aspect, leur format. La lecture ne possède que des avantages : elle reste le meilleur moyen pour l’apprentissage, le développement mental et l’expression orale. Compulser de la fiction peut établir une démarche pour l’accès à la culture dès le plus jeune âge. Elle nourrit l’esprit critique et constructif. « La « bibliothérapie » reste une pratique aux effets secondaires bénéfiques qui n’est, certes, pas médicalement fondée ». Mais selon ses principes, les recueils peuvent élargir l’appétit d’un gosse pour les bouquins dès son plus jeune âge. « Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois. » disait à l’envi Pierre Dumayet. 
 



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