Par PAULOCHON

Le Caldaguès sous l’œil des caméras japonaises

C’est au moment de la dernière transhumance que les contacts se sont noués un peu par hasard. Aujourd’hui la concrétisation est là en Caldaguès avec une équipe nippone de tournage qui promène ses caméras dans les rues de la cité thermale cantalienne aux eaux naturelles les plus chaudes d’Europe. « Les bains dans les eaux chaudes font partie de notre culture japonaise, c’est en usage dans notre vie quotidienne, » affirme Hiromi Kimura coordonnatrice à « BS-Nippon télévision » qui diffuse chaque semaine une émission sur le sujet. Les Japonais se sont donc intéressés, en fins connaisseurs, de très près aux activités thermales locales. Ils effectueront pendant quatre jours des enregistrements dont le planning prévoit des captations sur les bains de Caleden, le musée européen Géothermia, le chauffage dans une maison individuelle, le thermoludisme. Mais outre la spécificité des eaux chaudes, ils déambuleront ailleurs, dans l’environnement touristique, champêtre, voire socio-économique, les paysages.... Mais aussi alentours avec une journée complète sur l’Aubrac notamment la visite d’un atelier de couteau à Laguiole, la coopérative jeune Montagne. La gastronomie n’est pas oubliée avec son incontournable aligot. « Nous voulons montrer la vie du village, la vie thermale thermale dans son ensemble, tous ses aspects », précise la coordonnatrice, avant d’ajouter : « Le reportage fera l’objet d’une diffusion d’une heure dans une tranche de grande écoute le mardi soir de 21 à 22 heures sur « BS-Nippon Télévision » une chaîne classée parmi les six plus fortes audiences nationales. L’équipe prendra le temps de musarder en des lieux pittoresques, dans les coins du bourg en quête d’images insolites comme celle du lavoir à eau chaude avec une des toutes dernières lavandières à l’utiliser : Renée Rouzaire. Une belle opportunité pour communiquer sur l’ensemble du territoire. Une bonne occasion de faire découvrir le Caldaguès au pays du Soleil levant, présenté avec tout le raffinement de l’extrême orient.

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Une déchetterie ou une déchèterie ?

Par PAULOCHON
La  déchetterie   et la déchèterie sont deux termes qui désignent des installations pour la gestion des rebuts, mais ils sont utilisés de manière interchangeable. L’Académie française recommande l’orthographe  déchèterie  qui pour elle est «  la forme la plus simple et la plus conforme à l’esprit de la langue  ». Voilà, c’est dit. L’une ou l’autre selon l’écriture est un espace aménagé, gardienné et clôturé. Où les particuliers peuvent apporter gratuitement leurs débris occasionnels  : ceux qui ne peuvent se collecter avec les ordures ménagères en raison de leur encombrement, de leur poids ou de leur nature. Elle contribue, de plein droit à la réglementation en vigueur, à la protection en valorisant vos résidus volumineux, dangereux et/ou réutilisables. Le projet à l’heure actuelle en préparation répondra mot pour mot et pratiquement à la recommandation ci-dessus. Elle permet de lutter contre les dépôts sauvages. Certains déchets sont récupérés ou recyclés par la suite. Les rebuts t
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Assemblée générale et hommage à Lieutadés

Par PAULOCHON
L’assemblée générale des anciens de Lieutadès, autrement dit des capujadous, reste toujours un moment de bilan qui démontre le dynamise de l’association. Cette année, il se trouvait particulièrement obligé de fêter les cent ans de Yvonne Troucelier présente le jour de la fondation et encore là 35 ans plus tard. La première partie de la rencontre décrivait l’activité du club. Après son propos d’introduction et de bienvenue, la présidente Monique Delfaut demandait une pensée pour les malades absents et ceux partis cette année avec une minute de silence. Elle donnait la parole à Lucien Cavalier et son panier d’animations en tous genres. Matinées anniversaires, tous les deux mois, excursion à Figeac, quine, la galette des rois, une tombola, le repas de fin d’année à Laguiole, fête du four, sorties et autres distractions. Paulette Boudon prenait le relais en soumettant la comptabilité où il ne manque pas un centime, une rigueur affichée dans le résultat du bilan qui présente un beau sold
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Lumière sur les 13 vitraux de l’église Saint Blaise Saint Martin.

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  Récompensée lors des grandes expositions internationales de l’entre-deux-guerres, la manufacture Mauméjean connaissait de son temps l’attachement de ses nombreux commanditaires français, espagnols ou encore américains. Plus de cinq mille cathédrales, basiliques ou chapelles, disséminées dans une trentaine de pays, témoignent de l’activité de cette dynastie de vitrailliers, entre savoir-faire et industrie. Rarement, le visiteur entre dans l’univers des vitraux au cours d’un rendez-vous de l’église, sinon de s’arrêter subrepticement devant l’un ou l’autre. Ce samedi, la « conférence » s’organisait à l’occasion des journées européennes des métiers d’art, sous l’affable animation de Pascale Chappot, guide-conférencière. Une vingtaine de curieux découvraient quelques-uns des joyaux qu’ils ont laissés dans le Cantal et avant tout à Chaudes-Aigues. La guide détaillait dans un premier temps l’architecture du lieu de culte Caldaguès. Notait que le retable restait l’œuvre de Jean-Baptiste Ro
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