Escapade dans les Alpes du sud pour Intergénération.

Par PAULOCHON


Cinquante-cinq adhérents de l’association se sont embarqués jeudi dernier pour quatre jours à changer d’air et de paysage. Un séjour passé autour du grand lac de Serre-Ponçon (3000 hectares), au cœur des Hautes Alpes, dans une ambiance unique de bord de mer vers d’immenses espaces naturels de montagne. Juste à côté, Embrun, la « petite Nice des Alpes » », ouvrait les portes d’une architecture magnifique et vivante. Le programme touristique des plus appréciables n’omettait pas un tour dans la gastronomie locale particulièrement riche en quantité comme en qualité. Pour votre information voici un menu servi aux Auvergnats Cantalous. Ce dîner avec spécialités du terroir offrait : Tourtons à la pomme de terre frits, filet de truite fumée de Baratier et ses ravioles , tome au Génépi, puis dégustation de la liqueur du pays. Ils effectueront une excursion au pied du mont Pelvoux et de la barre des Écrins. Visiteront également le village de Vallouise, catalogué en 2014 plus beau village d’entre Val et Montagne. Un parcours aménagé autour de la maison du parc national des Écrins leur permettra en compagnie d’un guide de mieux connaître la flore régionale. Tout ceci se présente dans le désordre sans aucune exhaustivité. Un autre jour ils partiront pour le fort de Mont Dauphin, place forte créée par Vauban au XVIIe siècle. Il comprend des redoutes et des bâtiments militaires classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Cet ensemble défensif en marbre rose enserre un village fortifié. Bref un séjour dépaysant, des points de vue éblouissants, les souvenirs deviendront impérissables.

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Le baptême de l’air d’Intergénération

Par PAULOCHON
  Quelque cinquante adhérents d’Intergénération viennent de passer une huitaine au Portugal, de Porto à Lisbonne, un voyage en terre inconnue. La majorité effectuait son premier déplacement en avion. Question dépaysement à Porto, c’est presque raté dès le deuxième jour puisqu’ils découvrent le pont Maria Pia, un viaduc qui franchit le Douro. Ce  premier pont ferroviaire en arc conçu par Gustave Eiffel joignait les deux rives du fleuve. Inauguré en novembre 1877, il est désaffecté en 1991. Il a servi de brouillon pour notre Garabit dont le chantier de construction, s’ouvrait en janvier 1880, se terminait en septembre 1884. Mardi, ils appréciaient la capitale du nord du Portugal avec son quartier historique répertorié au patrimoine mondial. Mercredi en route pour Braga, la Rome du Portugal. La visite de Guiméres classé par l’UNESCO s’ajoutait au programme. Suivait le lendemain la vallée du Douro avec en soirée un spectacle folklorique. Jeudi se déroulera dans le parc naturel de la serr
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Le boulodrome glisse vers le mur

Par PAULOCHON
Des mâts d’éclairage se déplacent aux abords du boulodrome et sur l’arrière du City-parc et du tennis. Où les amateurs du cochonnet découvriront d’autres surfaces au pied du mur de soutènement. En décalant la totalité du terrain de pétanque, il en sortira un agrandissement de l’aire de stationnement contiguë. L’emplacement récupéré se trouve désormais drainé et ordonnancé. Tous ces travaux d’aménagement s’effectuent par les employés municipaux, notamment le changement d’implantation des lampadaires. Le poids de 300 kilogrammes environ ne s’avérait pas le handicap, mais leur encombrement en hauteur. Les dix mètres devaient rester verticalement en bout de flèche de l’élévateur. Avec habileté, les pylônes désolidarisés de leur socle se transféraient ainsi sans les coucher pour les transporter afin d’éviter toute torsion préjudiciable à l’intégrité du mât. Cette situation les gardait en sécurité et équilibre pour les décaler de leur support initial vers un autre, cinq mètres plus loin. C’
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Impressionnante et belle soirée !

Par PAULOCHON
  Samedi 27 avril, l’association Bès et Truyère donnait en Caldaguès sa séance théâtrale annuelle. Depuis 2011, elle n’avait pas posé les pieds dans la cité thermale. Impressionnant c’est le mot pour l’intendance, la mise en place des décors de la sonorisation, espace scénique, jeu de lumière et autres technicités. Impressionnant le nombre de petites mains qui participent tant sur les planches que derrière ou à côté, ainsi que la qualité de l’organisation, sans accroc. Impressionnant le parti pris du rire, assumé par l’ensemble de la troupe. Les amateurs viennent à leur représentation pour le divertissement. L’humour se goûte à plusieurs niveaux, de la blague à deux balles, aux jeux de mots jusqu’au comique de situation. Passé ces considérations philosophiques, le spectacle s’intitulait «  les jeux olympitres ». On notait des invités exceptionnels, des athlètes champions du monde dans leurs catégories comme la natation synchronisée à sec. Impressionnants, les intermèdes subtilement
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