Par PAULOCHON
Pour la nostalgie année scolaire 1961/1962 école privée

 

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D’Aubrac à Braco avec Cyril Cros

Par PAULOCHON
À 28 ans il est gérant de sa propre entreprise ? Après des études en communication, il obtient un Master marketing du Sport à Toulouse.Ce diplôme est une formation de plus en plus demandée, qui prépare les apprenants à travailler dans l'industrie en pleine croissance du sport-business. Elle inclut non seulement les clubs et fédérations, mais aussi les agences de diffusion, les équipementiers, les compagnies de loisirs sportifs. Il se dirige donc vers Décathlon, où il devient vendeur au rayon du cycle, avec pour objectif de développer la location et les services durables… Responsable pendant deux ans d’une équipe. Cette mission chez ce distributeur requiert de la mobilité. Mais la rencontre imprévue avec l’âme sœur qui souhaite demeurer à Clermont-Ferrand pour terminer ses études complique les choses avec son employeur. «  J’ai donc décidé de m’installer ici, mes parents y habitent. C’est mon pied-à-terre . » Par l’autoroute la capitale auvergnate reste proche en...
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Du pain à la ferme du Verdier

Par PAULOCHON
  La Ferme du Verdier est un lieu-dit pédagogique situé à Lieutadès , au contrefort de l'Aubrac. Il est géré par Michèle et Bernard Primois. L'endroit propose de nombreuses activités pour les particuliers et les groupes, axées sur le quotidien rural d’époque et la découverte des savoir-faire artisanaux. Michèle et Bernard privilégient le contact avec la nature et les animaux. Ils offrent une immersion dans un mode de vie plus lent et plus respectueux des traditions grâce à leurs ateliers thématiques : façonnage du bois, vannerie, travail du cuir, apiculture et assemblage de couteaux de pays. Pour cette matinée dans les lieux, le pain se mettait à l’honneur. Ils se retrouvaient quatre de l’Adapei du Cantal, foyer des orgues de Saint-Flour: Céline, l’accompagnante éducative et sociale, ainsi que les pensionnaires Sonia, Françoise et Jean-Baptiste. Ils allaient apprendre à fabriquer du pain. En prime, ils pourront emporter leur production pour la déguster au repas du l...
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Le changement dans la continuité à Intergénération

Par PAULOCHON
Intergénération existe toujours parce que ses membres sont une force de proposition, car chaque rentrée invite à des ateliers qui naissent, évoluent ou meurent pour certains. Mais elle reste en mouvement perpétuel : c’est un esprit dévolu au partage et à la générosité. Après vingt ans de présidence, Viviane Gibelin a laissé sa place à Martine Fabre à l’issue de l’assemblée générale de l’association. En définitive, ce sera un bouleversement dans la continuité. Martine Fabre et son acolyte Bernadette Mouliade participaient avec zèle à la vie intergénérationnelle. Elles en savent les rouages et les subtilités. Deux décennies qu’Intergénération occupe sans compter l’espace Caldagués et alentour. Au vu du prochain programme, ce n’est sûrement pas maintenant que cela cessera. L’état d’esprit, les repas, escapades, voyages et autres exercices occasionneront la solidarité, le dialogue en milieu rural. Finalement, ce sont 19 modules actifs qui proposent, séduction, attraction et partage...
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